Pays: France
Novartis Pharma MAJ Il y a 5 ans

Étude BIANCA : étude de phase 2 évaluant l’efficacité et la sécurité du tisagenlecleucel, chez des enfants ayant un lymphome non hodgkinien en rechute ou réfractaire. Le lymphome est un cancer du système lymphatique qui se développe quand une erreur survient au niveau de la fabrication des lymphocytes, conduisant à la production de cellules anormales. Le système lymphatique comprend la moelle osseuse, la rate, le thymus, les ganglions lymphatiques et les vaisseaux lymphatiques ; il assure la défense de l'organisme contre les microbes, parasites, toxines, corps étrangers, etc. On distingue les lymphomes malins « ganglionnaires » et « extra-ganglionnaires », les phénotypes B et T (selon le type de lymphocyte affecté) et les lymphomes agressifs ou indolents. Le lymphome diffus à grandes cellules B est le plus fréquent des lymphomes (il représente 30 à 40 % des lymphomes non hodgkiniens). L'âge moyen des patients est 55 à 60 ans mais il peut toucher des enfants. Ces lymphomes agressifs peuvent prendre naissance dans les ganglions lymphatiques ou dans des endroits extra-ganglionnaires tels que le tube digestif, les testicules, la thyroïde, la peau, le sein, le système nerveux central ou les os. Le traitement de référence est l’immunothérapie, qui consiste à activer le système immunitaire du patient contre les cellules cancéreuses afin de les détruire. Le tisagenlecleucel, utilise les propres lymphocytes T de l'organisme pour combattre le cancer. Les lymphocytes T d'une personne ayant un cancer sont enlevés, génétiquement modifiés pour cibler et tuer les cellules cancéreuses, et transférés de nouveau à la personne. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité du tisagenlecleucel chez des enfants ayant un lymphome non hodgkinien en rechute ou réfractaire. Tous les patients recevront 1 seule fois du tisagenlecleucel. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 4 ans.

Essai ouvert aux inclusions
Hôpitaux de Rouen MAJ Il y a 5 ans
Essai clos aux inclusions
Merck MAJ Il y a 5 ans

CERTO : Essai de phase 2 randomisé comparant l’efficacité du cétuximab à une chimiothérapie à base de platine associée ou non à 2 doses de cilengitide, en traitement de première ligne, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avancé. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est d’évaluer l’efficacité du cilengitide, en association avec du cétuximab et une chimiothérapie à base de platine, en comparaison avec une association thérapeutique comprenant du cétuximab et une chimiothérapie à base de platine seule. Les patients seront répartis aléatoirement, de façon homogène, en deux groupes de traitement. Les patients du premier groupe recevront une chimiothérapie comprenant du cilengitide en perfusion, une fois par semaine ; le premier jour, le huitième jour et le quinzième jour de la cure. Une perfusion de cétuximab sera également administrée une fois par semaine. Cette administration sera associée à une perfusion de cisplatine le premier jour de la cure et une perfusion de vinorelbine ou de gemcitabine le premier et le huitième jour de la cure. L’ensemble de ces traitements sera répété toutes les trois semaines. Les patients du deuxième groupe recevront une association de cétuximab, de cisplatine, et de vinorelbine ou gemcitabine, administrée dans les mêmes conditions que dans le premier groupe, mais ne recevront pas de cilengitide. Les patients des trois groupes recevront jusqu’à 6 cures de la chimiothérapie. Les traitements par cilengitide et cétuximab seront poursuivis quotidiennement en absence de progression radiologiquement documentée ou de toxicité inacceptable. Les patients seront suivis tous les deux mois après l’arrêt des traitements.

Essai clos aux inclusions
Amgen MAJ Il y a 5 ans

Etude JASMINE : étude de phase 3 randomisée en double aveugle visant à évaluer l’efficacité, la sécurité et l’immunogénicité de l’APB798 en comparaison au rituximab chez des patients ayant un lymphome non hodgkinien (LNH) à cellules B CD20 positif. [essai clos aux inclusions] Le lymphome non hodgkinien est un cancer qui se développe à partir de cellules du système lymphatiques, les lymphocytes B ou T (globules blancs impliqués dans les réactions de défense de l’organisme). La plupart des lymphomes à cellules B possèdent un antigène appelé CD20. Cet antigène est utilisé comme cible aux anticorps qui vont le reconnaitre et attaquer les cellules cancéreuses, comme le rituximab, qui constitue un des traitements de référence du lymphome non hodgkinien. L’ABP 798 est un biosimilaire du rituximab. Il s’agit donc d’un médicament biologique qui contient la même substance active d’un médicament biologique (ici, le rituximab déjà autorisé dans cette indication). L’objectif de cette étude est d’étudier l’efficacité et la sécurité de l’ABP798 chez des patients ayant un lymphome non hodgkinien à cellules B et possédant l’antigène CD20 et de les comparer au traitement de référence rituximab. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront des perfusions d’ABP798 une fois par semaine pendant 4 semaines puis aux semaines 12 et 20. Les patients du deuxième groupe recevront des perfusions de rituximab une fois par semaine pendant 4 semaines puis aux semaines 12 et 20. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai clos aux inclusions