Organes: Tête et cou

Étude KEYNOTE-412 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du pembrolizumab associé à une chimioradiothérapie avec celle d’une chimioradiothérapie seule chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête et du coup à un stade localement avancé. Les cancers de la tête et du cou sont le plus souvent de type épidermoïde, c’est-à-dire qu’ils se développent à partir de cellules du tissu cutané, que l’on retrouve notamment dans l’épiderme de la peau et dans les muqueuses de la tête et du cou. La plupart des cancers de la tête et du cou (environ 90 %) sont des carcinomes épidermoïdes. Lorsqu’ils sont détectés précocement et immédiatement traités, les cancers des muqueuses de la tête et du cou peuvent être guéris. Les traitements les plus utilisés, seuls ou en combinaison, sont la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées. Le pembrolizumab est un médicament d’immunothérapie qui a démontré une activité anticancéreuse clinique sur un large éventail de tumeurs. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du pembrolizumab associé à une chimioradiothérapie avec celle de la chimioradiothérapie seule. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront une injection de pembrolizumab, puis recevront, soit une radiothérapie accélérée sur 6 semaines, soit une radiothérapie standard sur 7 semaines. La radiothérapie sera administrée en association avec du cisplatine, administré toutes les 3 semaines pendant 2 cures, s’il s’agit d’une radiothérapie accélérée ou pendant 3 cures, s’il s’agit d’une radiothérapie standard et en association avec le pembrolizumab, toutes les 3 semaines à partir du début de la chimioradiothérapie, et pour un maximum de 17 cures, en absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront une injection d’un placebo, puis recevront, soit une radiothérapie accélérée sur 6 semaines, soit une radiothérapie standard sur 7 semaines. La radiothérapie sera administrée en association avec le cisplatine, administré toutes les 3 semaines pendant 2 cures, s’il s’agit d’une radiothérapie accélérée ou pendant 3 cures, s’il s’agit d’une radiothérapie standard, et en association avec le placebo toutes les 3 semaines à partir du début de la chimioradiothérapie, et pour un maximum de 17 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 5 ans maximum.

Essai ouvert aux inclusions

Étude ELAN-FIT : étude de phase 2 évaluant l’efficacité et la tolérance de l’association concomitante du carboplatine, du 5 fluorouracile (5 FU), et du cétuximab en première ligne de traitement, chez des patients âgés de 70 ans ou plus, considérés comme « fit » (sans fragilité) sur le plan gériatrique, ayant un cancer de la tête et du cou, épidermoïde, métastatique ou récidivant, non accessible à un traitement locorégional. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance de l’association concomitante du carboplatine, du 5 fluorouracile , et du cétuximab en première ligne de traitement, chez des patients âgés de 70 ans ou plus, ayant un cancer de la tête et du cou, épidermoïde, métastatique ou récidivant, non accessible à un traitement locorégional et considérés comme « fit » (sans fragilité) sur le plan gériatrique. Les patients recevront une chimiothérapie à base de carboplatine et de 5 fluorouracile, administrés en perfusion intraveineuse, les quatre premiers jours de chaque cure, et de cétuximab, administré en perfusion intraveineuse une fois par semaine. Ce traitement sera répété toutes les trois semaines, pendant six cures. Les patients recevront ensuite, une chimiothérapie de maintenance à base de cétuximab, administré en perfusion intraveineuse, toutes les deux semaines jusqu’à la rechute ou l’intolérance.

Essai clos aux inclusions

Étude RCAPHM14_0370 : étude de phase 4 évaluant un modèle de ciblage posologique du 5-fluorouracile (5-FU) chez des patients ayant un cancer des voies aérodigestives supérieures (ORL) et traités par un protocole de chimiothérapie composé de 5-FU, docétaxel et cisplatine (TPF). Les cancers ORL (oto-rhino-laryngologie) regroupent des cancers des voies aéro-digestives supérieures (on parle aussi de cancer de la tête et du cou).En cas de dépistage précoce à un stade peu avancé, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie constituent le traitement standard. Mais si le dépistage est plus tardif à un niveau où la tumeur est plus grosse ou que les ganglions sont atteints, la prise en charge pourra impliquer un traitement de chimiothérapie adapté en fonction des localisations et types de cancer. Un des protocoles de chimiothérapie standard (appelé TPF) est l’association de cisplatine, docétaxel, et 5-fluoro-uracile (5-FU). La toxicité du 5-FU nécessite une adaptation posologique chez certains patients dont les capacités de détoxification du foie sont limitées à cause d’un déficit de l’enzyme DPD. L’objectif de cette étude est d’identifier ce statut de déficience DPD avant de démarrer la chimiothérapie TPF afin d’adapter la dose de 5-FU et ainsi de limiter les toxicités les plus sévères chez ces patients. Les patients seront répartis en 2 groupes selon leur ordre d’entrée dans l’étude. Les patients des 2 groupes recevront une chimiothérapie TPF composée de perfusion intraveineuse (IV) de docétaxel et de cisplatine le premier jour et du 5-FU en perfusion IV continue du premier jour au 5ème jour, à une dose qui pourra être ajustée en fonction du statut DPD préalablement déterminé. Une visite préalable sera mise en place avant le traitement par chimiothérapie TPF où le patient aura 2 prélèvements sanguins et un recueil urinaire optionnel. L’un de ces prélèvements sanguins permettra déterminer le statut de déficience DPD. - Les 20 premiers patients inclus seront dans le premier groupe (étude initiale). Ils auront 8 prélèvements sanguins à différents temps du début de la perfusion de 5-FU jusqu’à 1h après la fin de la perfusion. - Les 80 patients suivants seront dans le 2ème groupe (étude principale). Ils feront l’objet d’un suivi thérapeutique avec correction posologique du traitement si nécessaire selon les doses évaluées sur les patients du 1er groupe. Ils auront 3 prélèvements sanguins à différents temps après le début de la perfusion IV de 5-FU et immédiatement avant la fin de la perfusion. Le suivi des patients sera réalisé conformément aux pratiques selon les procédures habituelles du service. La durée de participation sera comprise entre 2 et 3 mois après la 1ère cure TPF reçue.

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UNICANCER MAJ Il y a 5 ans

Etude CHECK’UP : étude de cohorte visant à évaluer les facteurs prédictifs de réponse aux antagonistes de PD-1 ou PD-L1. Les cellules tumorales sont capables de « modifier le comportement » les cellules du système immunitaire pour éviter d’être attaquées et détruites. La tumeur déclenche des mécanismes qui inactivent les cellules immunitaires et l’organisme ne peut alors plus se défendre pour lutter contre les cellules cancéreuses. La tumeur « freine » le système immunitaire. La liaison entre une protéine, PD-1, qui se trouve sur une cellule du système immunitaire et son ligand, PD-L1, sur la cellule tumorale, entraine un blocage de la réaction immunitaire. L’immunothérapie est un traitement qui consiste à administrer des substances qui vont stimuler les défenses immunitaires de l’organisme pour lutter contre différentes maladies, en particulier certains cancers. Les anti-PD-1/PD-L1 ont montré des résultats probants dans le traitement de certains cancers. Identifier les patients chez qui ces traitements seront efficaces est un enjeu important L’objectif de cette étude est d’identifier et de valider des facteurs prédictifs de la réponse au traitement par anti-PD-1/PD-L1 chez des patients ayant un mélanome métastatique, un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) métastatique ou un carcinome épidermoïde de la tête et du cou métastatique. Cette étude comportera 2 groupes indépendants de patients selon le type de cancer : - Un 1er groupe d’apprentissage qui consistera à identifier les signatures potentielles de réponse au traitement. - Un 2ème groupe de validation qui visera à valider les signatures de réponses identifiées. Une biopsie sera effectuée avant l’initiation du traitement (sauf si un échantillon est déjà disponible) et un échantillon sanguin sera prélevé. Des échantillons de selles et de salive seront à fournir dans certains centres participants spécifiques (optionnels). Les patients recevront un traitement par un antagoniste de PD-1 ou de PD-L1 administré dans le cadre de son autorisation de mise sur le marché (AMM) ou d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU). Dans le 1er groupe, des échantillons de sang seront recueillis le 1er jour de la 2ème et 3ème cure, à 3 mois, à 5 mois et demi, à 8 mois et demi et à 1 an après l’initiation du traitement et au moment de la progression de la maladie. Dans le 2ème groupe, des échantillons sanguins seront recueillis le 1er jour de la 3ème cure, à 3 mois après l’initiation du traitement et au moment de la progression de la maladie. Un examen clinique et radiologique sera réalisé à l’inclusion, à 5 mois et demi, à 8 mois et demi et à 1 an après l’initiation du traitement. Les patients seront suivis au maximum jusqu’à 5 ans après l’initiation du traitement.

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Étude MINER : étude de cohorte translationnelle évaluant l’impact de la présence d’une immunité antitumorale préexistante sur la réponse à une immunothérapie modulatrice de point de contrôle immunitaire chez des patients ayant des tumeurs solides avancées. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes), comme par exemple le cancer du sein, et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif, comme par exemple le cancer des os. L'immunothérapie est un traitement qui vise à mobiliser les défenses immunitaires du patient contre sa maladie. Il s'agit d'une piste importante de la recherche cancérologique actuelle. Plusieurs traitements d'immunothérapie sont d'ores et déjà disponibles. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’impact de la présence d’une immunité antitumorale préexistante sur la réponse à une immunothérapie chez des patients ayant des tumeurs solides avancées. Les patients seront répartis en 5 groupes selon leur type de pathologie. Tous les patients recevront un traitement agissant sur le système immunitaire selon les indications du résumé des caractéristiques du produit ou selon le protocole s’il s’agit d’un produit administré dans le contexte d’un protocole de recherche clinique. Des échantillons de biopsie tumorale (si applicable) et des échantillons sanguins seront prélevés 2 semaines avant le début du traitement et des échantillons sanguins supplémentaires seront prélevés avant la troisième et la cinquième administration du traitement (correspondant, selon le schéma thérapeutique, à la fin de la semaine 4, 6 ou 8 et à la fin de la semaine 8, 12 ou 16 respectivement) et au moment de l’arrêt définitif du traitement. Un échantillon tumoral sera prélevé en cas de procédure chirurgicale ou biopsie tumorale. En cas d'arrêt définitif du traitement avant la 5e administration du traitement, des échantillons sanguins seront prélevés à ce moment et les autres échantillonnages seront maintenus comme prévu. Après la fin du traitement, des échantillons sanguins seront prélevés 2 fois par an (si possible) jusqu’à progression de la maladie.

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Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 6 ans

Étude CA017-003 : étude de phase 1-2a randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986205 associé au nivolumab et au nivolumab et à l’ipilimumab chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le BMS-986205 est un inhibiteur d’IDO1, un immunosuppresseur présent dans de nombreux types de tumeurs. Le BMS-986205 a montré dans les études précédentes une capacité à restaurer et favoriser la prolifération et l’activation des cellules immunitaires et par conséquent une stimulation de la réponse immunitaire contre les cellules tumorales. L’ipilimumab et le nivolumab sont des anticorps ciblant respectivement CTLA-4 et PD-1, susceptibles de réactiver le système immunitaire, qui pourraient avoir un effet synergique quand ils sont administrés simultanément. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986205 associé au nivolumab et au nivolumab et à l’ipilimumab chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées. L’étude comprendra 4 parties. La France participera uniquement aux parties 2 et 3 de l’étude. Dans la partie 1, les patients recevront du BMS-986205, administré seul, en continu pendant 2 semaines selon un schéma d’escalade de dose, puis associé au nivolumab. La dose du BMS-986205 est progressivement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer. Dans la partie 2, les patients recevront du BMS-986205 en continu associé au nivolumab toutes les 2 semaines ou toutes les 4 semaines, selon la cohorte dans laquelle le patient sera inclus. Dans la partie 3 : - Les patients ayant un mélanome recevront du BMS-986205 continu associé au nivolumab toutes les 4 semaines et à l’ipilimumab toutes les 8 semaines. - Les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules recevront du BMS-986205 en continu associé au nivolumab toutes les 3 semaines et à l’ipilimumab toutes les 6 semaines. - Les patients ayant un cancer de la vessie recevront du BMS-986205 en continu associé au nivolumab et à l’ipilimumab, toutes les 3 semaines pendant 4 cures, puis ils recevront du nivolumab toutes les 4 semaines. Les traitements seront administrés pendant une période de 48 semaines. Dans la partie 4, les patients recevront une dose unique de BMS-986205. Les patients inclus dans la partie 3 seront suivis pendant 14 semaines après la fin du traitement de l’étude avec des visites à 30, 60 et 100 jours. Les patients seront suivis sur le long terme pendant 2 ans après le début du traitement de l’étude ou pendant 12 mois minimum après la fin du traitement de l’étude. Pour les patients ayant une réponse à la fin du traitement, cette phase de suivi à long terme comprendra également un suivi de la réponse, impliquant une imagerie de diagnostic toutes les 12 semaines jusqu’à 2 ans après le début du traitement de l’étude.

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Étude Frail-Immune : étude de phase 2 évaluant l’efficacité et la tolérance du durvalumab associé à du carboplatine et du paclitaxel en traitement de première ligne chez des patients ayant un carcinome épidermoïde métastatique de la tête et du cou, ou en rechute non éligibles à une chimiothérapie standard. Les cancers épidermoïdes se développent à partir d’un type de tissu cutané que l’on retrouve dans l’épiderme de la peau et dans les muqueuses de la tête du cou notamment. Les traitements les plus utilisés, seuls ou en combinaison, sont la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées. En première ligne, la chimiothérapie par cisplatine-fluorouracil et cetuximab est indiquée dans les carcinomes épidermoïdes de la tête et du cou (SCCHN). Néanmoins, en raison des nombreux effets indésirables de cette association, de nombreux patients n’y sont pas éligibles. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le durvalumab est un anticorps monoclonal qui se lie à une protéine des cellules cancéreuses et les empêche ainsi d’échapper au système immunitaire. Le carboplatine est une molécule qui se fixe à l’ADN et empêche sa réplication, ce qui conduit à la mort cellulaire des cellules cancéreuses. Le paclitaxel empêche la prolifération des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance du durvalumab associé à du carboplatine et du paclitaxel en première ligne chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête ou du cou métastatique ou en rechute et non éligibles pour la chimiothérapie standard. L’étude comprendra 2 étapes. Lors de la 1re étape, les patients recevront du durvalumab associé à du paclitaxel et à du carboplatine administré 1 fois par semaine. Le traitement est répété toutes les 4 semaines. Lors de la 2ème étape, les patients recevront du durvalumab associé à du paclitaxel et à du carboplatine administré 1 fois par semaine. Puis les patients recevront du durvalumab seul toutes les 4 semaines. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines, jusqu’à 12 fois en l’absence de progression de la maladie ou de d’intolérance au traitement. Tous les patients seront revus pour une visite de tolérance à 90 jours après la fin du traitement de l’étude. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 39 mois.

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Innate Pharma MAJ Il y a 5 ans

Etude IPH2201-203 : étude de phase 1b/2 visant à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’IPH2201 associé au cétuximab chez des patients ayant un carcinome squameux de la tête et du cou récurrent ou métastatique positif ou négatif pour le papillomavirus humain. Les cancers de l’oropharynx, du pharynx et du larynx constituent le 90% des cancers de la tête et du cou et sont favorisés par le tabagisme et l’abus d’alcool. Une infection par certains types du papillomavirus humain augmente le risque de développer un cancer de la tête et du cou. Le traitement des cancers de la tête et du cou est complexe et dépend des caractéristiques de la tumeur qui guident le choix de la stratégie de traitement. L’IPH2201(monalizumab) est une immunothérapie avec une potentielle activité antinéoplasique par stimulation du système immunitaire pour reconnaitre et détruire les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’IPH2201 (monalizumab) associé au cétuximab chez des patients ayant un carcinome squameux de la tête et du cou récurrent ou métastatique positif ou négatif pour le papillomavirus humain. Cette étude se déroulera en 2 étapes. Lors de la première étape de l’étude, tous les patients recevront de l’IPH2201 selon un schéma d’escalade de dose toutes les 2 semaines associé au cétuximab . La dose d’IPH2201 sera progressivement augementée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Lors de la deuxième étape de l’étude, tous les patients recevront l’IPH2201 à la dose la mieux adaptée, toutes les 2 semaines associé au cétuximab. Les patients seront suivis toutes les 8 semaines pendant 1 an.

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