Organes: Poumon, type non à petites cellules - Spécialités: Chimiothérapie,Thérapies Ciblées
UNICANCER MAJ Il y a 6 ans

Étude SAFIR02_Lung : étude de phase 2, randomisée, comparant l’efficacité de la génomique à haut débit comme outil de décision thérapeutique par rapport à un traitement standard, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) métastatique. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité d’un traitement basé sur des analyses moléculaires à haut débit par rapport à un traitement standard, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) métastatique. Cette étude comprendra deux parties : Dans la première partie, les patients recevront quatre cures de chimiothérapie à base de sel de platine. Une biopsie sera réalisée sur la tumeur primaire ou sur un site métastatique, après deux cures de chimiothérapie. L’échantillon prélevé sera analysé afin de réaliser des analyses génomiques permettant de détecter des mutations. Dans la deuxième partie, les patients stables ou répondeurs au traitement et présentant une anomalie identifiée par la commission multidisciplinaire seront répartis de façon aléatoire en deux groupes, vingt-huit jours après la fin de la chimiothérapie : Les patients reçoivent un des traitements de maintenance suivant selon les résultats des analyses génomiques : - des comprimés d’AZD2014 deux fois par jour en continu jusqu’à la rechute ou l’intolérance OU, - des comprimés d’AZD4547 deux fois par jour pendant deux semaines OU, - des comprimés d’AZD5363 deux fois par jour pendant quatre jours suivis de trois jours de repos OU, - des comprimés d’AZD8931 deux fois par jour en continu OU, - des comprimés de selumetinib deux fois par jour en continu OU, - des comprimés vandetanib deux fois par jour en continu. Ces traitement sont répétés toutes les trois semaines jusqu’à la rechute ou l’intolérance. Les patients du deuxième groupe seront répartis en deux groupes selon le profil histologique de leur maladie : - Les patients ayant un cancer non épidermoïde recevront une chimiothérapie de maintenance standard à base de pemetrexed administré en perfusion intraveineuse toutes les trois semaines, jusqu’à la rechute ou l’intolérance. - Les patients ayant un cancer non épidermoïde recevront une chimiothérapie de maintenance standard à base d’érlotinib administré par voie orale une fois par jour, en continu jusqu’à la rechute ou l’intolérance.

Essai ouvert aux inclusions
Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CINC280B2201 : étude de phase 1b-2, randomisée, en escalade de dose, évaluant la tolérance puis l’efficacité d’un traitement par capmatinib (INC280) associé ou non à l’erlotinib, par rapport à un traitement associant platine et pemetrexed, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, avancé ou métastatique avec une mutation de l’EGFR et une amplification de cMET, et ayant acquis une résistance à un précéden traitement par un inhibiteur de EGFR. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85-90% de l’ensemble des cancers du poumon. Environ 10% des patients de cancer du poumon non à petites cellules ont l’EGFR muté. Ces patients sont plus sensibles aux traitements par des inhibiteurs d’EGFR, mais ils peuvent développer des résistances acquises à ce traitement. L’activation du gène cMET promeut la prolifération, la survie, la motilité et l’invasion cellulaire, favorisant la croissance tumorale. L’INC280 est un inhibiteur de c-MET qui a montré une capacité de réduire la migration et l’adhésion des cellules tumorales, ce qui valimiter la formation de métastases. L’objectif de cette étude est de comparer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’INC280 seul à l’INC280 en association avec une thérapie ciblée par de l’erlotinib et à une chimiothérapie à base de platine plus du pemetrexed chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique, muté pour l’EGFR, avec une amplification de cMET et une résistance acquise à un traitement antérieur par un inhibiteur de la tyrosine kinase EGFR. Les patients sont répartis en 3 groupes de façon aléatoire : Les patients du premier groupe recevront de l’INC280 par voie orale en monothérapie. Les patients dudeuxième groupe recevront de l’INC280 par voie orale plus de l’erlotinib par voie orale. Les patients du troisième groupe recevront une chimiothérapie à base de sels de platine (cisplatine ou carboplatine) par voie intraveineuse plus du pemetrexed par voie intraveineuse. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai clos aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M11-089 : étude de phase 3, randomisée, en double aveugle, comparant l’efficacité et la tolérance d’un traitement comprenant du veliparib, du carboplatine et du paclitaxel par rapport à un traitement comprenant placebo, carboplatine et du paclitaxel, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) épidermoïde avancé ou métastatique non traité antérieurement. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la tolérance d’un traitement comprenant du veliparib, du carboplatine et du paclitaxel par rapport à un traitement comprenant placebo, carboplatine et du paclitaxel, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules épidermoïde avancé ou métastatique non traité antérieurement. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront une chimiothérapie à base de carboplatine et paclitaxel administrée en perfusion intraveineuse le premier jour de chaque cure, associé à des comprimés de veliparib adminitrés deux jours avant l’administration de la chimiothérapie pendant sept jours. Ces traitement seront répétés toutes les trois semaines jusqu’à la rechute ou l’intolérance. Les patients du deuxième groupe recevront du carboplatine et du paclitaxel selon les mêmes modalités que dans le premier groupe, mais le veliparib sera remplacé par un placebo. Dans le cadre de cette étude, ni le patient, ni le médecin ne connaitront le type de traitement attribué (veliparib ou placebo).

Essai clos aux inclusions
Ability Pharmaceuticals MAJ Il y a 4 ans

Étude Endoluung : étude de phase 1-2, évaluant l'efficacité et la tolérance de l'ABTL0812 en association avec le paclitaxel et le carboplatine, chez des patients ayant un cancer endométrial avancé ou un cancer du poumon non à petites cellules. Le cancer se développe à partir de cellules normales qui se multiplient de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer de l'endomètre est la 4e cause de cancer chez la femme en France. L'endomètre est le revêtement intérieur de la paroi du corps de l'utérus, la partie de l'utérus où se déroule la grossesse. Le plus souvent, les cancers de l'endomètre prennent naissance à partir d'une cellule de la première couche de l'endomètre, l'épithélium. Ils sont alors qualifiés de carcinomes Le cancer du poumon non à petites cellules représente 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon, 4e cause des cancers les plus fréquents en Europe. Il se différencie du cancer du poumon à petites cellules par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Les trois principaux types de cancers du poumon non à petites cellules sont les carcinomes épidermoïdes, les adénocarcinomes et les carcinomes du poumon à grandes cellules. Le traitement de ces cancers repose sur la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, l'hormonothérapie et la thérapie ciblée. L’ABTL0812 est une petite molécule qui active des récepteurs PPAR et le gène TRIB, entrainant l’inhibition de la croissance tumorale qui est excessivement activée dans la plupart des cancers humains. Le paclitaxel et la carboplatine agissent en ralentissant ou en bloquant la croissance des cellules cancéreuses afin de pouvoir les détruire. L’objectif de cette étude est d’évaluer l'efficacité et la sécurité de l’ABTL0812 en association avec du paclitaxel et du carboplatine chez des patients ayant un cancer de l'endomètre de stade avancé ou un cancer du poumon non à petites cellules squameux. L’étude se déroulera en 2 phases. La 1ère phase comprendra 2 étapes : * Lors de la 1ère étape, les patients recevront de l’ABTL0812 PO seul pendant 7jours. La dose du ABTL0812 sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Puis les patients recevront de l ’ABTL0812 en association avec du paclitaxel et carboplatine. Le traitement sera répété jusqu’à 8 cures en l’absence de progression et d’intolérance au traitement. * Lors de la 2ème étape, les patients recevront de l’ABTL0812 seul, à la dose la mieux adaptée établie lors de la première phase, 3 fois par jour. Le traitement sera répété pendant au moins 12 mois en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2ème phase, les patients recevront de l’ABTL0812 seul à la dose la mieux adaptée établie lors de la 1ère étape, en association avec du paclitaxel et du carboplatine. Le traitement sera répété jusqu’à 8 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 24 mois après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Essai clos aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M14-360 : étude de phase 1-2 randomisée visant à évaluer l’efficacité et la tolérance d’un traitement avec du véliparib associé à une radiothérapie et à une chimiothérapie à base de paclitaxel/carboplatine suivi d’un traitement de consolidation avec du véliparib, du paclitaxel/carboplatine chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade III. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. Le traitement standard se fait généralement par une chimiothérapie et/ou une radiothérapie, mais il est nécessaire de trouver des alternatives de traitement qui provoquent moins d’effets secondaires. Le véliparib est un agent anticancéreux dont l’activité spécifique sur les cellules cancéreuses a été démontrée dans les études précédentes. De plus, il est capable de sensibiliser les cellules cancéreuses à d’autres traitements, comme les chimiothérapies, d’où l’intérêt d’utiliser le véliparib pour obtenir un effet anticancéreux synergique. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance d’un traitement avec du véliparib associé à une radiothérapie et à une chimiothérapie à base de paclitaxel/carboplatine suivi d’un traitement de consolidation avec du véliparib, du paclitaxel/carboplatine chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade III. L’étude comprendra 2 phases. Lors de la phase 1, tous les patients recevront une radiothérapie concomitante, 5 jours par semaine pour environ 30 à 34 séances, associée à une chimiothérapie comprenant du carboplatine et du paclitaxel, associé à du véliparib. Puis ils recevront une chimiothérapie de consolidation par carboplatine/paclitaxel, associé au véliparib. Dans la phase 2, les patients seront répartis de façon aléatoire en 3 groupes. Les patients du premier groupe recevront une radiothérapie concomitante, 5 jours par semaine pour environ 30 à 34 séances, associée à une chimiothérapie comprenant du carboplatine et du paclitaxel, associé au véliparib. Puis ils recevront une chimiothérapie de consolidation par carboplatine/paclitaxel, associée au véliparib. Les patients du deuxième groupe recevront une radiothérapie concomitante, 5 jours par semaine pour environ 30 à 34 séances, associée à une chimiothérapie comprenant du carboplatine et du paclitaxel, associé au véliparib. Puis ils recevront une chimiothérapie de consolidation par carboplatine/paclitaxel, associée à un placebo. Les patients du troisième groupe recevront une radiothérapie concomitante, 5 jours par semaine pour environ 30 à 34 séances, associée à une chimiothérapie comprenant du carboplatine et du paclitaxel, associé à un placebo. Puis ils recevront une chimiothérapie de consolidation par carboplatine/paclitaxel associé au placebo. Les patients seront suivis pendant environ 3 ans.

Essai clos aux inclusions