Organes: Lymphomes non hodgkinien - Le promoteur: Incyte
Incyte MAJ Il y a 5 ans

Étude INCB39110-206 : étude de phase 1-2 évaluant la tolérance et l’efficacité de l’itacitinib associé à l’ibrutinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B, en rechute ou réfractaire. [essai clos aux inclusions] Le lymphome diffus à grandes cellules B est le type de lymphome non hodgkinien le plus courant, caractérisé, par des cellules qui semblent très grosses comparativement aux lymphocytes normaux. En général, le lymphome diffus à grandes cellules B prend naissance dans les ganglions lymphatiques, mais il peut aussi le faire dans des organes ou des tissus qui se trouvent à l’extérieur des ganglions lymphatiques comme par exemple les os, le système nerveux central, le tube digestif, le sinus. Dans 30 à 40 % des cas, le lymphome diffus à grandes cellules B est localisé (stade 1 ou 2) quand on le diagnostique et dans le reste des cas il s’est répandu, ce qui signifie qu’il s'est propagé aux ganglions lymphatiques situés au-dessus et en dessous du diaphragme ou à différentes parties du corps, comme la rate, le foie ou la moelle osseuse. Le traitement de référence du lymphome diffus à grandes cellules B est la chimiothérapie. Il est possible que le lymphome diffus à grandes cellules B récidive après qu’on ait administré les premières séances de traitement. Les traitements possibles sont alors les thérapies ciblées, la radiothérapie, la greffe de cellules souches et l’immunothérapie. L’itacitinib est un inhibiteur de l’enzyme JAK1. Il possède des activités anticancéreuses et immunomodulatrices potentielles, c’est-à-dire qu’il active le système immunitaire. L’ibrutinib est un inhibiteur de l’enzyme BTK. Son action entraine la mort des lymphocyte B mutées responsable du lymphome diffus à grandes cellules B. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité de l’itacitinib associé à l’ibrutinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B, en rechute ou réfractaire. L’étude comprendra 2 étapes. Lors de la 1re étape, la dose de l’itacitinib sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à utiliser pour la 2e étape, associé à l’ibrutinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2e étape, les patients recevront de l’itacitinib à la dose recommandée établie lors de l’étape 1 associé à de l’ibrutinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 6 mois après le début de l’étude.

Essai clos aux inclusions
Incyte MAJ Il y a 5 ans

Étude CITADEL-205 : étude de phase 2 comparant l’efficacité et la sécurité de 2 posologies de parsaclisib chez des patients ayant un lymphome du manteau en rechute ou réfractaire et précédemment traité ou non par un inhibiteur de BTK. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le lymphome à cellules du manteau est un lymphome non hodgkinien à lymphocytes B. Il prend naissance dans le bord externe d'un ganglion lymphatique appelé zone du manteau. Le lymphome à cellules du manteau affecte plus souvent l'homme que la femme. On le diagnostique habituellement au début de la soixantaine. En général, le lymphome à cellules du manteau est diagnostiqué aux stades 3 ou 4. Il s’est souvent propagé à d’autres ganglions lymphatiques, à la moelle osseuse, à la rate et au foie. On l’observe parfois le long du tube digestif. Le lymphome à cellules du manteau peut évoluer lentement (indolent), mais il existe également des variantes qui évoluent rapidement (agressives). Le traitement principal du lymphome à cellules du manteau est la chimiothérapie. On peut avoir recours à d’autres traitements comme le traitement ciblé, la thérapie biologique, la radiothérapie et la greffe de cellules souches. La parsaclisib est un inhibiteur puissant de la phosphatidylinositol 3-kinase delta de nouvelle génération. Cette enzyme est hyperactive dans les tumeurs malignes à cellules B et joue un rôle majeur dans la prolifération, la survie, la migration et la rétention des cellules tumorales dans les tissus lymphoïdes et la moelle osseuse. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la sécurité de 2 posologies de parsaclisib chez des patients ayant un lymphome du manteau en rechute ou réfractaire et précédemment traité ou non par un inhibiteur de BTK. Les patients seront répartis en 2 groupes. Les patients du 1er groupe, précédemment traités par ibrutinib, recevront du parsaclisib. Les patients du 2e groupe, non précédemment traités par un inhibiteur de BTK, recevront du parsaclisib. Les patients seront revus régulièrement pour des examens biologiques et radiologiques. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 26 mois.

Essai ouvert aux inclusions
Incyte MAJ Il y a 5 ans

Étude INCB39110-206 : étude de phase 1-2 évaluant la tolérance et l’efficacité de l’itacitinib associé à l’ibrutinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B, en rechute ou réfractaire. Le lymphome diffus à grandes cellules B est le type de lymphome non hodgkinien le plus courant, caractérisé, par des cellules qui semblent très grosses comparativement aux lymphocytes normaux. En général, le lymphome diffus à grandes cellules B prend naissance dans les ganglions lymphatiques, mais il peut aussi le faire dans des organes ou des tissus qui se trouvent à l’extérieur des ganglions lymphatiques comme par exemple les os, le système nerveux central, le tube digestif, le sinus. Dans 30 à 40 % des cas, le lymphome diffus à grandes cellules B est localisé (stade 1 ou 2) quand on le diagnostique et dans le reste des cas il s’est répandu, ce qui signifie qu’il s'est propagé aux ganglions lymphatiques situés au-dessus et en dessous du diaphragme ou à différentes parties du corps, comme la rate, le foie ou la moelle osseuse. Le traitement de référence du lymphome diffus à grandes cellules B est la chimiothérapie. Il est possible que le lymphome diffus à grandes cellules B récidive après qu’on ait administré les premières séances de traitement. Les traitements possibles sont alors les thérapies ciblées, la radiothérapie, la greffe de cellules souches et l’immunothérapie. L’itacitinib est un inhibiteur de l’enzyme JAK1. Il possède des activités anticancéreuses et immunomodulatrices potentielles, c’est-à-dire qu’il active le système immunitaire. L’ibrutinib est un inhibiteur de l’enzyme BTK. Son action entraine la mort des lymphocyte B mutées responsable du lymphome diffus à grandes cellules B. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité de l’itacitinib associé à l’ibrutinib chez des patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B, en rechute ou réfractaire. L’étude comprendra 2 étapes. Lors de la 1re étape, la dose de l’itacitinib sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à utiliser pour la 2e étape, associé à l’ibrutinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2e étape, les patients recevront de l’itacitinib à la dose recommandée établie lors de l’étape 1 associé à de l’ibrutinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 6 mois après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions