organs: Tumeurs solides - Specialty: Thérapies Ciblées
Novartis Pharma Update Il y a 5 ans

Étude NIRX2201 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité et l’innocuité de NIR178 associé à PDR001 chez des patients ayant certaines tumeurs solides et des lymphomes diffus à grandes cellules B (LDGCB). Le microenvironnement autour de la tumeur contient de grandes quantités d’une molécule appeléeadénosine, qui peut diminuer l’efficacité des traitements d’immunothérapie contre les cellules cancereuses. NIR178 est un antagoniste de l’adénosine, c’est-à-dire une molécule capable de bloquer ou diminuer l’effet de l’adénosine. PDR001 est un traitement d’immunotherapie. L’association d’un antagoniste de l’adénosine avec une immunothérapie a démontré une activité anticancéreuse dans les études précédentes. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi de NIR178 associé à PDR001 chez des patients ayant certaines tumeurs solides et des lymphomes diffus à grandes cellules B. Dans la partie 1, les patients recevront du NIR178 deux fois par jour en continu jusqu’à la progression. Dans la partie 2, les patients du 1er groupe recevront du NIR178, 2 fois par jour en continu. Les patients du 2ème groupe, recevront du NIR178 2 semaines sur 2. Les patients du 3ème groupe recevront du du NIR178 une semaine sur 2. Dans la partie 3, les patients recevront du NIR178 2 fois par jour par intermittence selon les résultats de la partie 2. Tous les patients recevront également du PDR001 toutes les 4 semaines pour les parties 1, 2 et 3 de l’étude. Les patients seront suivis pendant environ 6 mois.

Essai ouvert aux inclusions
Exelixis Update Il y a 5 ans

Étude XL184-021 : étude de phase 1b visant à déterminer la dose maximale tolérée et à évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance, l’efficacité et la pharmacocinétique du cabozantinib associé à l’atézolizumab chez des patients ayant des tumeurs solides localement avancées ou métastatiques. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puis qu’elles représentent 90 % des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. L’atézolizumab est un anticorps capable de restaurer la fonction cytotoxique des cellules T qui est altérée dans de nombreux cancers. Ces lymphocytes T activés sont de nouveau capables de reconnaître et détruire les cellules cancéreuses. Le cabozantinib est une thérapie ciblée du groupe des inhibiteurs de tyrosine kinases qui peut diminuer la croissance des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est de déterminer la dose maximale tolérée et d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance, l’efficacité et la pharmacocinétique du cabozantinib associé à l’atézolizumab chez des patients ayant des tumeurs solides localement avancées ou métastatiques. L’étude comprendra 2 parties. Dans la partie 1, les patients recevront du cabozantinib 1 fois par jour associé à l’atézolizumab toutes les 3 semaines. Différentes doses de cabozantinib seront testées par groupe de patients afin de déterminer la dose recommandée de cabozantinib à administrer. Dans la partie 2, les patients recevront du cabozantinib à la dose déterminée lors de la partie 1, 1 fois par jour, associé à l’atézolizumab toutes les 3 semaines. Les patients seront suivis pendant 41 mois maximum.

Essai ouvert aux inclusions
Novartis Pharma Update Il y a 5 ans

CRAD001X2109 : Essai de phase 1 visant à déterminer la dose maximale tolérée (MTD) et/ou la dose recommandée de l’association d’évérolimus et de BEZ235, chez des patients atteints de tumeur solide avancée, suivi d’une phase d’expansion visant à évaluer la sécurité d’emploi et la tolérance de cette association, chez des patients ayant un cancer du sein RE+/HER2- ou un cancer du rein métastatique. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est de déterminer la dose la plus adaptée de l’association d’évérolimus et de BEZ235 et d’évaluer la tolérance de cette association, chez des patients ayant un cancer du sein RE+/HER2- ou un cancer du rein métastatique. Au cours d’une première partie, les patients recevront des comprimés d’évérolimus, une fois par jour, et du BEZ235, deux fois par jour, sous forme de sachet pour suspension buvable. Plusieurs doses de cette association seront testées pour déterminer la dose la plus adaptée à administrer par la suite. Au cours de la deuxième partie, les patients seront répartis en deux groupes. Les patients du premier groupe recevront des comprimés d’évérolimus seuls tous les jours pendant une semaine et à partir de la deuxième semaine ils recevront également du BEZ235 deux fois par jour. Les patients du deuxième groupe recevront de l’évérolimus et du BEZ235 selon les mêmes modalités que dans la première partie. Ces traitements seront répétés tous les mois. Au cours de cet essai, les patients seront suivis régulièrement. Ces visites de suivis comprendront notamment des examens cliniques, des analyses biologiques, des examens d’imagerie (IRM, radiographie thoracique ou tomodensitométrie) et des électrocardiogrammes. Des prélèvements de sang et de tumeur seront également effectués pendant cet essai.

Essai clos aux inclusions
AstraZeneca Update Il y a 6 ans

Étude D5160C00035 : étude de phase 1 visant à évaluer la pharmacocinétique, la sécurité d’emploi et la tolérance de l’osimertinib chez des patients ayant des tumeurs solides avancées et avec une fonction rénale normale ou une insuffisance rénale sévère. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquents puisque, à eux seuls, ils représentent 90% des cancers humains. L’osimertinib est un inhibiteur de tyrosine kinases EGFR de troisième génération qui cible le récepteur EGFR avec la mutation T790M ayant comme première indication le cancer de poumon non à petites cellules. Une mutation du récepteur EGFR est associée à une croissance tumorale incontrôlée, ce qui peut accélérer la progression du cancer. Les cellules tumorales porteuses de mutations de l’EGFR sont très sensibles aux traitements anticancéreux basés sur des thérapies ciblées. L’objectif de cette étude est d’évaluer la pharmacocinétique, la sécurité d’emploi et la tolérance de l’osimertinib chez des patients ayant des tumeurs solides avancées et avec une fonction rénale normale ou une insuffisance rénale sévère. L’étude comprendra 3 parties. Dans la partie A, les patients seront répartis en 2 groupes. Dans le 1er groupe seront inclus les patients ayant une insuffisance rénale. Dans le 2ème groupe seront inclus les patients ayant une fonction rénale normale. Tous les patients recevront une dose unique d’osimertinib par voie orale (PO). Les patients seront suivis pendant 24h après la prise du traitement et ils reviendront au centre en ambulatoire le lendemain, le jour d’après et puis tous les 2 jours pendant les 10 jours après avoir reçu le traitement. Dans la partie B, les patients ayant une insuffisance rénale sévère inclus dans la partie A continueront à recevoir l’osimertinib PO une fois par jour pendant 12 semaines. Les patients seront suivis une fois par semaine pendant les 3 premières semaines puis toutes les 3 semaines jusqu’à la semaine 12. Les patients inclus dans la partie B ayant un bénéfice clinique de l’osimertinib pourront entrer dans la phase d’accès continu (partie C), dans laquelle ils pourront continuer à recevoir l’osimertinib PO une fois par jour jusqu’à progression de la maladie ou toute autre raison pour arrêter le traitement. Les patients seront suivis 30 jours après la dernière dose de la partie A s’ils n’ont pas intégré la partie B ou la phase d’accès continu ou 30 jours après l’interruption de l’osimertinib dans la partie B. Après l’interruption du traitement dans la phase d’accès continu, les patients auront un suivi pendant 30 jours.

Essai ouvert aux inclusions
Bayer Update Il y a 5 ans

Étude BAYER 18327 : étude de phase 1, évaluant la tolérance la pharmacocinétique et l'immunogénicité de l'anetumab ravtansine, chez des patients ayant une tumeur solide avancée exprimant la mésothéline et présentant différents stades d'insuffisance hépatique ou rénale. [essai clos aux inclusions] Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, os, organes… Elles représentent 90% des cancers. Les études cliniques précédentes avec l'anétumab ravtansine ont démontré des signes cliniques prometteurs d'efficacité anti-tumorale dans les indications cliniques telles que le mésothéliome pleural malin et péritonéal et le cancer de l'ovaire. Il s’agit d’un anticorps qui se lie à une protéine, la mésothéline, présente à la surface des cellules tumorales dans certains cancers. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et les caractéristiques de l’anétumab ravtansine chez des patients ayant une tumeur solide avancée exprimant la mésothéline et présentant différents stades d’insuffisance hépatique ou rénale. Les patients seront répartis en 4 groupes en fonction de leur atteinte hépatique ou rénale. Groupe A : patients ayant des fonctions hépatique et rénale adéquates. Groupe B : patients ayant une insuffisance hépatique légère et une fonction rénale adéquate. Groupe C : patients ayant une insuffisance hépatique modérée et une fonction rénale adéquate. Groupe D : patients ayant une insuffisance rénale modérée et une insuffisance hépatique légère. Tous les patients recevront de l’anétumab ravtansine en perfusion intraveineuse une fois toutes les 3 semaines. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai clos aux inclusions