Femme Homme | 18 ans et plus
- | Pays :
- France
- | Organes :
- Ovaire
- | Spécialités :
- Soins de Support
Extrait
L’objectif de cette étude est d’évaluer les séquelles physiques (les troubles de la sexualité, les symptômes liés à la ménopause) et les besoins des patientes en longue rémission après un cancer épithélial de l’ovaire. Les patientes complèteront des auto-questionnaires de qualité de vie. Les patientes ayant complété ces questionnaires bénéficieront d’un examen gynécologique et biologique.
Extrait Scientifique
Il s’agit d’une étude de qualité de vie, non randomisée et multicentrique. Les patientes complètent les différents auto-questionnaires de qualité de vie. Contactées par téléphone, les patientes volontaires bénéficient ensuite d’un bilan clinico-biologique standardisé.;
Objectif principal
Évaluer de façon précise, dans le cadre d’un bilan clinico-biologique spécifique, les séquelles physiques (plus spécifiquement les troubles de la sexualité et les symptômes liés à la ménopause), à distance du cancer de l’ovaire et de ses traitements, de façon à mieux appréhender les effets à long terme des traitements et à identifier une prise en charge adaptée pour les patientes en longue rémission d’un cancer de l’ovaire.;
Critère d'inclusion
- Age ≥ 18 ans.
- Antécédent de reçu un traitement optimal (chirurgie, chimiothérapie…).
- Cancer épithélial de l’ovaire après une première ligne de traitement.
- Absence de rechute clinique, biologique ou radiologique documentée au minimum 3 ans après la fin du traitement initial (depuis la date de fin de la chimiothérapie de première ligne).
- Les patientes pourront être incluses quel que soit le stade du cancer au diagnostic (précoce ou avancé).
- Participation au volet 1 de l’étude Vivrovaire.
- Consentement écrit signé pour participer au volet 2 de l’étude Vivrovaire.
Critère de non inclusion
- Pathologie psychiatrique pouvant perturber le déroulement de l’étude ou empêcher l’interprétation des résultats.
- Autre cancer, excepté un carcinome cutané baso-cellulaire et un cancer du sein in situ.
- Personnes privées de liberté.
- Majeurs faisant l’objet d’une mesure de protection légale ou hors d’état d’exprimer leur consentement.