Le promoteur: Bristol Myers Squibb (BMS)
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Étude CA209-9DX : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du nivolumab en traitement adjuvant par rapport à un placebo, chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avec un risque élevé de récidive après traitement curatif par résection ou ablation du foie. Le cancer primitif du foie désigne une tumeur cancéreuse qui prend naissance dans les cellules du foie. Cette tumeur peut envahir les tissus avoisinants et les détruire. Elle peut aussi se propager à d’autres parties du corps. Les tumeurs cancéreuses sont également appelées tumeurs malignes. Le carcinome hépatocellulaire est le type le plus courant de cancer primitif du foie. Il prend naissance dans les cellules qui forment la majeure partie du foie. Selon le stade du cancer du foie, plusieurs chirurgies sont possibles, la résection, la greffe ou l’ablation. On a recours au traitement ciblé pour traiter les cancers du foie de stade avancé non éligibles à la chirurgie ou ne réagissant plus aux autres traitements. Le nivolumab est un anticorps monoclonal agissant sur le système immunitaire et induisant une inhibition de la prolifération des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du nivolumab en traitement adjuvant par rapport à celle d’un placebo chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avec un risque élevé de récidive après traitement curatif par résection ou ablation du foie. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront du nivolumab toutes les 4 semaines. Le traitement sera répété pendant 1 an en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront un placebo toutes les 4 semaines. Le traitement sera répété pendant 1 an en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus pour une évaluation de l’innocuité et une évaluation des résultats à 1 mois et à 100 jours après la fin du traitement de l’étude puis tous les 3 mois pendant 5 ans maximum.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 6 ans

Étude CA017-003 : étude de phase 1-2a randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986205 associé au nivolumab et au nivolumab et à l’ipilimumab chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le BMS-986205 est un inhibiteur d’IDO1, un immunosuppresseur présent dans de nombreux types de tumeurs. Le BMS-986205 a montré dans les études précédentes une capacité à restaurer et favoriser la prolifération et l’activation des cellules immunitaires et par conséquent une stimulation de la réponse immunitaire contre les cellules tumorales. L’ipilimumab et le nivolumab sont des anticorps ciblant respectivement CTLA-4 et PD-1, susceptibles de réactiver le système immunitaire, qui pourraient avoir un effet synergique quand ils sont administrés simultanément. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986205 associé au nivolumab et au nivolumab et à l’ipilimumab chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées. L’étude comprendra 4 parties. La France participera uniquement aux parties 2 et 3 de l’étude. Dans la partie 1, les patients recevront du BMS-986205, administré seul, en continu pendant 2 semaines selon un schéma d’escalade de dose, puis associé au nivolumab. La dose du BMS-986205 est progressivement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer. Dans la partie 2, les patients recevront du BMS-986205 en continu associé au nivolumab toutes les 2 semaines ou toutes les 4 semaines, selon la cohorte dans laquelle le patient sera inclus. Dans la partie 3 : - Les patients ayant un mélanome recevront du BMS-986205 continu associé au nivolumab toutes les 4 semaines et à l’ipilimumab toutes les 8 semaines. - Les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules recevront du BMS-986205 en continu associé au nivolumab toutes les 3 semaines et à l’ipilimumab toutes les 6 semaines. - Les patients ayant un cancer de la vessie recevront du BMS-986205 en continu associé au nivolumab et à l’ipilimumab, toutes les 3 semaines pendant 4 cures, puis ils recevront du nivolumab toutes les 4 semaines. Les traitements seront administrés pendant une période de 48 semaines. Dans la partie 4, les patients recevront une dose unique de BMS-986205. Les patients inclus dans la partie 3 seront suivis pendant 14 semaines après la fin du traitement de l’étude avec des visites à 30, 60 et 100 jours. Les patients seront suivis sur le long terme pendant 2 ans après le début du traitement de l’étude ou pendant 12 mois minimum après la fin du traitement de l’étude. Pour les patients ayant une réponse à la fin du traitement, cette phase de suivi à long terme comprendra également un suivi de la réponse, impliquant une imagerie de diagnostic toutes les 12 semaines jusqu’à 2 ans après le début du traitement de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Etude CheckMate 384 : étude randomisée de phase 3b-4 visant à optimiser la fréquence de la dose de nivolumab (240 mg toutes les 2 semaines ou 480 mg toutes les 4 semaines) chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules avancé ou métastatique et ayant reçu un traitement par nivolumab à 240 mg, toutes les 2 semaines pendant 1 année maximum. [essai clos aux inclusions] Le cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) représente 85% des cancers du poumon. Le cancer est classifié en 4 stades en fonction de la taille de la tumeur, de l’implication des ganglions aux alentours et de la propagation éventuelle des cellules cancéreuses dans d’autres parties du corps, formant des « métastases ». Le traitement des cancers de stade avancé ou métastatique passe par une chimiothérapie qui consiste à administrer des médicaments anticancéreux. De nouvelles solutions utilisent aujourd’hui l’immunothérapie, comme le nivolumab qui a obtenu récemment son autorisation de mise sur le marché (AMM) dans le CBNPC et dont le but est de stimuler le système immunitaire pour défendre l’organisme des cellules cancéreuses. Une diminution de la fréquence d’administration du nivolumab pourrait être plus pratique pour les patients et pourrait améliorer l’observance tout en maintenant l’efficacité chez les patients qui pourraient avoir besoin de poursuivre le traitement pendant de longues périodes. L’objectif de cette étude est d’optimiser la fréquence de la dose de nivolumab administré à 240 mg toutes les 2 semaines ou à 480 mg toutes les 4 semaines chez des patients ayant un CBNPC avancé ou métastatique et ayant reçu un traitement préalable par nivolumab à 240 mg toutes les 2 semaines pendant 1 année maximum. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront 240 mg de nivolumab en perfusion intraveineuse de 30 min toutes les 2 semaines. Les patients du 2ème groupe recevront 480 mg de nivolumab en perfusion intraveineuse de 30 min toutes les 4 semaines. Dans les 2 groupes, le traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance ou pendant un maximum de 5 ans. Des analyses biologiques seront effectuées à la visite de sélection et à chaque cure de traitement. Des prélèvements sanguins supplémentaires seront ajoutés toutes les 6 semaines pour les patients du 1er groupe et toutes les 8 semaines pour les patients du 2ème groupe et en fin de traitement. Une évaluation radiologique complète de la tumeur sera réalisée à la visite de sélection et toutes les 8 semaines pendant la 1ère année de l’étude puis tous les 3 mois pendant la 2ème année, suivie de la prise en charge standard locale par la suite. Les patients ayant des antécédents de métastases auront une imagerie par résonnance magnétique de surveillance à ces mêmes visites. Les patients répondront à des questionnaires de qualité de vie avant l’administration du traitement puis tous les 6 mois. Les patients seront suivis à partir de l’interruption du traitement à l’étude, à 1 mois après la dernière dose administrée, à 70 jours après la 1ère visite de suivi et tous les 6 mois pendant 5 ans.

Essai clos aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Étude CA013-004 : étude de phase 1-2a évaluant la sécurité et la tolérance du BMS-986179 administré seul et en association avec le nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes), comme par exemple le cancer du sein, et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif, comme par exemple le cancer des os. Les immunothérapies constituent une stratégie importante de traitement contre le cancer. Le nivolumab et le BMS-986179 agissent en réactivant le système immunitaire pour qu’il lutte contre les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance du BMS-986179 administré seul et en association avec le nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé. Cette étude se déroulera en 2 étapes. La 1ère étape de l’étude sera divisée en 2 parties. Dans la 1ère partie, les patients seront répartis en 5 groupes en fonction de la dose de BMS-986179 administrée. Les patients recevront du BMS-986179 seul, 1 fois par semaine pendant 2 semaines et auront une biopsie de la tumeur au 10ème jour de traitement. Puis, les patients recevront du BMS-986179, 1 fois par semaine, associé au nivolumab administré toutes les 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, et en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Dans la 2ème partie, les patients seront répartis en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab, administré à faible dose toutes les 2 semaines et auront une biopsie de la tumeur à la 6ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, et en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab, administré à forte dose toutes les 3 semaines et auront une biopsie de la tumeur au à la 6ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 6 semaines jusqu’à 4 cures, et en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Dans la 2ème étape de l’étude, les patients seront répartis en fonction de leur pathologie. Les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules seront répartis en 2 groupes. - Les patients du premier groupe recevront du BMS-986179 seul, toutes les 4 semaines et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. En cas de progression de la maladie, les patients pourront recevoir du BMS-986179 associé au nivolumab. Dans ce cas, ils recommenceront l’étude à partir du premier jour de la première cure. Les patients du 2ème groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients ayant un carcinome à cellules rénales seront répartis en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du BMS-986179 seul et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. En cas de progression de la maladie, les patients pourront recevoir du BMS-986179 associé au nivolumab. Dans ce cas, ils recommenceront l’étude à partir du premier jour de la première cure. Les patients du 2ème groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients ayant un mélanome ou un carcinome épidermoïde de la tête et du cou recevront du BMS-986179 associé nivolumab et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Tous les patients pourront recevoir 80 semaines de traitement supplémentaires. Les patients seront revus 30, 60 et 100 jours après la dernière administration du traitement à l’étude et passeront une évaluation de la réponse tumorale toutes les 12 semaines à partir de la dernière évaluation de la réponse tumorale au cours de l’étude pendant 1 an, puis tous les 6 mois pendant 1 an.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 6 ans

Étude CA209-743 : étude de phase 3 randomisée visant à comparer l’efficacité du nivolumab associé à l’ipilimumab au pémétrexed associé au cisplatine ou au carboplatine comme traitement de première ligne chez des patients ayant un mésothéliome pleural malin non résécable. Le mésothéliome pleural malin est la plus fréquente des tumeurs primitives de la plèvre, la membrane qui délimite l’espace entre les poumons et la paroi du thorax. Le pronostic est souvent défavorable et les progrès thérapeutiques restent modestes ; par conséquent, il est nécessaire de trouver des alternatives de traitement plus efficaces. Le traitement standard se fait par une chimiothérapie à base de pémétrexed associé au cisplatine ou au carboplatine, mais il y a des patients intolérants ou réfractaires à ce traitement. Le mésothéliome pleural malin est la plus fréquente des tumeurs primitives de la plèvre, la membrane qui délimite l’espace entre les poumons et la paroi du thorax. Le pronostic est souvent défavorable et les progrès thérapeutiques restent modestes ; par conséquent, il est nécessaire de trouver des alternatives de traitement plus efficaces. Le traitement standard se fait par une chimiothérapie à base de pémétrexed associé au cisplatine ou au carboplatine, mais il y a des patients intolérants ou réfractaires à ce traitement. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. L’ipilimumab et le nivolumab sont des anticorps ciblant respectivement CTLA-4 et PD-1, susceptibles de réactiver le système immunitaire, qui pourraient avoir un effet synergique quand ils sont administrés simultanément. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du nivolumab associé à l’ipilimumab au pémétrexed associé au cisplatine ou au carboplatine comme traitement de première ligne chez des patients ayant un mésothéliome pleural malin non résécable. Tous les patients recevront de l’acide folique par voie orale (PO) une fois par jour pendant au moins 5 jours au cours de la semaine avant le début du traitement de l’étude et de la vitamine B12 par voie intramusculaire (IM) une semaine avant le début du traitement de l’étude, puis les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront du nivolumab par voie intraveineuse (IV) toutes les 2 semaines associé à l’ipilimumab en IV toutes les 6 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du pémétrexed associé au cisplatine ou au carboplatine, selon le choix de l’investigateur, toutes les 3 semaines pendant un total de 6 cures, sauf en cas de progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients recevant le pémétrexed continueront à recevoir les vitamines B12 en IM le premier jour de la troisième cure de pémétrexed et B9 (acide folique) PO tous les jours pendant le traitement avec du pémétrexed et 21 jours après la fin du traitement avec du pémétrexed, ainsi qu’une prémédication avec de la dexaméthasone PO deux fois par jour le jour précédant le début du traitement avec du pémétrexed, le jour du traitement avec du pémétrexed et le lendemain. Les patients seront suivis à 30 jours après la fin du traitement, puis 90 jours après la première visite et ensuite tous les 3 mois jusqu’à un maximum de 3 ans et demi.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Étude CA209-9KD : étude de phase 2 évaluant l’efficacité du nivolumab en association avec du rucaparib, du docétaxel ou de l’enzalutamide chez des patients ayant un cancer de la prostate métastatique résistant à la castration. Un cancer de la prostate est une maladie qui se développe à partir de cellules de la prostate initialement normales qui se transforment et se multiplient de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne. Le cancer de la prostate est un cancer d’évolution lente qui peut se propager à d’autres parties du corps, donnant lieu aux métastases. La majorité des patients ayant un cancer de la prostate métastatique vont développer une maladie résistante à la castration. Le nivolumab est un anticorps monoclonal induisant une inhibition de la prolifération des cellules cancéreuses. Le docétaxel est un agent chimiothérapeutique agissant en inhibant la prolifération des cellules cancéreuses. Le rucaparib a obtenu son autorisation de mise sur le marché pour le traitement du cancer de l’ovaire ; il agit en altérant l’ADN tumoral et ainsi en induisant la mort des cellules cancéreuses. L’enzalutamide est un anti-androgène ayant une autorisation de mise sur le marché pour le traitement du cancer de la prostate résistant à la castration. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du nivolumab en association avec du rucaparib, du docétaxel ou de l’enzalutamide chez des patients ayant un cancer de la prostate métastatique résistant à la castration. Les patients seront répartis en 3 groupes : Les patients du 1er groupe seront répartis en 2 sous-groupes selon leurs traitements antérieurs. Ils recevront du nivolumab à forte dose toutes les 4 semaines associé à du rucaparib 2 fois par jour. Le traitement par rucaparib sera répété jusqu’à la progression ou intolérance au traitement et le traitement par nivolumab sera répété pendant 24 mois maximum en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du nivolumab à faible dose associé à du docétaxel pendant les 10 premières cures. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 10 cures maximum en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement, puis les patients recevront du nivolumab à forte dose toutes les 3 semaines pendant 24 mois maximum en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe recevront du nivolumab à forte dose toutes les 4 semaines associé à de l’enzalutamide tous les jours. Le traitement par enzalutamide sera répété jusqu’à la progression ou intolérance au traitement et le traitement par nivolumab sera répété pendant 24 mois maximum en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus 30 et 100 jours après la fin du traitement à l’étude puis seront revus tous les 3 mois.

Essai ouvert aux inclusions