Specialty: Thérapies Ciblées - Promoter: Bayer
Bayer Update Il y a 4 ans

Étude 18594 : étude de phase 1 évaluant la sécurité, la tolérance, les paramètres pharmacocinétiques et pharmacodynamiques et la dose maximale tolérée et/ou recommandée pour la phase 2 du BAY1895344 chez des patients ayant des tumeurs solides avancées et/ou des lymphomes. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cas de cancers. Un lymphome est un cancer du système lymphatique, le principal élément du système immunitaire de l'organisme. C'est une maladie qui implique des cellules de la famille des globules blancs, appelées lymphocytes. Les cellules cancéreuses, se divisant de façon incontrôlée, accumulent de nombreuses altérations génétiques. Pour survivre à ces altérations, les cellules tumorales ont besoin de l'intervention d’ATR, une protéine qui permet de préserver l’intégrité du génome. BAY1895344 est un inhibiteur puissant d’ATR permettant d’éliminer les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité, la tolérance et la dose maximale tolérée et/ou recommandée pour la phase 2 du BAY1895344 chez des patients ayant des tumeurs solides avancés et/ou des lymphomes. L’étude se déroulera en deux parties : Pendant la première partie, les patients recevront du BAY1895344 une seule fois le premier jour de la première cure puis deux fois par jour pendant 3 jours, suivis de 4 jours sans traitement. La dose du BAY1895344 sera régulièrement augmentée par groupes de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième partie. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Pendant la deuxième partie, les patients recevront du BAY1895344 à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première partie une seule fois le premier jour de la première cure puis deux fois par jour pendant 3 jours, suivis de 4 jours sans traitement. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant deux ans.

Essai ouvert aux inclusions
Bayer Update Il y a 4 ans

Étude FORT-1 : étude de phase 2-3 randomisée comparant l’efficacité et la sécurité d’emploi du rogaratinib avec celles d’une chimiothérapie à base de docétaxel, paclitaxel ou vinflunine chez des patients ayant un carcinome urothélial localement avancé ou métastatique positif pour le récepteur FGFR et traité précédemment par une chimiothérapie contenant du platine. [essai clos aux inclusions] Le carcinome urothélial est le type de cancer de la vessie le plus fréquent, représentant plus de 90 % de l’ensemble des cas de cancer de la vessie. Il peut survenir dans n’importe quelle partie de l’appareil urinaire (le bassinet du rein, l’uretère, la vessie ou l’urètre). Ce cancer peut être non invasif, affectant uniquement le revêtement de la vessie, ou invasif s’il envahit d’autres couches de la paroi de la vessie. Lors du diagnostic, 40 à 50 % des patients présentent une tumeur invasive. Le traitement du carcinome urothélial avancé ou métastatique consiste généralement en une chimiothérapie en première ligne de traitement suivie d’une immunothérapie en deuxième ligne de traitement. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la sécurité d’emploi du rogaratinib avec celles d’une chimiothérapie à base de docétaxel, paclitaxel ou vinflunine chez des patients ayant un carcinome urothélial localement avancé ou métastatique positif pour le récepteur FGFR et traité précédemment par une chimiothérapie contenant du platine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront du rogaratinib deux fois par jour en continu en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront une chimiothérapie à base de docétaxel ou de paclitaxel ou de vinflunine le premier jour de chaque cure de 3 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 45 mois à partir de la répartition aléatoire.

Essai clos aux inclusions