Organes: Vessie - Le promoteur: Incyte
Incyte MAJ Il y a 5 ans

Étude INCB54828-201 : étude de phase 2 visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi de l’INCB054828 chez des patients ayant un carcinome urothélial métastatique ou localement avancé inopérable porteur d’altérations de la voie FGF/FGFR. Le carcinome urothélial est le type le plus fréquent de cancer de la vessie, il représente plus de 90% de tous les cancers de la vessie. Il peut subvenir dans n’importe quelle partie de l’appareil urinaire (le bassinet du rein, l’uretère, la vessie ou l’urètre). Ce cancer peut être non invasif, affectant uniquement le revêtement de la vessie, ou invasif, s’il envahit d’autres couches de la paroi de la vessie. Lors du diagnostic, 40 à 50% des patients ont une tumeur invasive. Les récepteurs FGFRsont des elements cellulaires qui promeuvent la vascularistation des tumeurs. Ils sont impliqués dans la survie du patient dans certains types de cancer (sein, poumon et estomac) et dans la progression de la maladie pour des tumeurs avec une forte incidence d’altérations de FGFR comme le cancer de la vessie, du sein, du poumon ou de l’estomac. L’utilisation des inhibiteurs spécifiques des récepteurs FGFR tels que l’INCB54828 pourrait avoir une activité antitumorale potentielle, car il a été demontré qu’ils étaient capable d’inhiber la prolifération, la migration et la survie des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi de l’INCB054828 chez des patients ayant un carcinome urothélial métastatique ou localement avancé inopérable porteur d’altérations de la voie FGF/FGFR. Les patients seront répartis en 2 groupes. Dans le groupe A, seront inclus les patients ayant des mutations ou des fusions de FGFR3. Dans le groupe B, seront inclus les patients ayant autres altérations de FGF/FGFR. Tous les patients recevront de l’INCB054828 par voie orale une fois par jour pendant 2 semaines suivi d’une semaine sans traitement pour chaque cure de 21 jours, jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 30 jours après la dernière dose du traitement de l’étude pour évaluer la sécurité d’emploi de l’INCB0548258. Le statut de la maladie sera évalué toutes les 9 semaines jusqu’au début d’un nouveau traitement anticancéreux, jusqu’à progression de la maladie ou jusqu’à la fin de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Incyte MAJ Il y a 5 ans

Étude ECHO-307 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du pembrolizumab en association avec l’épacadostat avec celle du pembrolizumab en association avec un placebo chez des patients ayant un carcinome urothélial ne remplissant pas les conditions pour une chimiothérapie à base de cisplatine. [essai clos aux inclusions] [essai clos aux inclusions] Le carcinome urothélial peut survenir dans n’importe quelle partie de l’appareil urinaire (le bassinet du rein, l’uretère, la vessie ou l’urètre). L’urothélium, aussi appelé épithélium transitionnel, est le revêtement interne de la vessie, des uretères et de l’urètre ainsi que du bassinet du rein, soit la partie du rein qui recueille l’urine. L’urothélium est fait de cellules urothéliales, ou transitionnelles. Ces cellules peuvent devenir cancéreuses et former ce qu’on appelle un carcinome urothélial, ou carcinome transitionnel. Le carcinome urothélial est le type le plus courant de cancer de la vessie. Il représente plus de 90 % de tous les cancers de la vessie. Le pembrolizumab est un médicament d’immunothérapie ayant eu des résultats prometteurs dans les études précédentes chez des patients ayant cette pathologie. L’association de ce médicament avec l’épacadostat induit le déclenchement d’une réponse immunitaire antitumorale comme cela a été démontré dans des études antérieures. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du pembrolizumab associé à l’épacadostat avec celle du pembrolizumab associé à un placebo chez des patients ayant un carcinome urothélial ne remplissant pas les conditions pour une chimiothérapie à base de cisplatine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines en association avec de l’épacadostat 2 fois par jour en continu. Le traitement sera répété jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines en association avec un placebo 2 fois par jour en continu. Le traitement sera répété jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 39 mois maximum.

Essai clos aux inclusions