organs: Tumeurs solides - Specialty: Immunothérapie - Vaccinothérapie
Pfizer Update Il y a 4 ans

Étude Javelin BRCA/ATM : étude de phase 2 évaluant la sécurité et l’activité antitumorale de l’avélumab associé à du talazoparib chez des patients ayant une tumeur porteuse du gène mutant BRCA ou ATM. Les tumeurs solides cancéreuses, comme les carcinomes ou les sarcomes, repérables par un amas de cellules localisé, représentent la majorité des cancers. Un cancer métastatique ou disséminé signifie que les cellules cancéreuses ont migré à travers le corps, par la voie des vaisseaux sanguins ou lymphatiques et ont colonisé un ou plusieurs autre(s) tissu(s), loin de la tumeur d’origine. Le traitement de référence dépend de plusieurs facteurs, notamment du type de cancer, de son stade, des préférences personnelles et de l’âge des patients. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. L'avélumab est un anticorps monoclonal anti-PD-L. En bloquant l'interaction entre PD-L1 et ses récepteurs, il conduit à la réactivation des lymphocytes T, rétablissant ainsi les réponses anti-tumorales de ces derniers. Il a également été montré que l'avélumab induit la destruction directe des cellules tumorales. Le talazoparib est un traitement utilisé dans le cancer du sein avancé ou métastatique avec des mutations de la lignée germinale BRCA. Il inhibe des enzymes impliquées notamment dans la réparation de l'ADN, la régulation renouvellement cellulaire et la mort cellulaire. Ce traitement exerce des effets toxiques sur les cellules, conduisant à la mort cellulaire des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’activité antitumorale de l’avélumab associé à du talazoparib chez des patients ayant une tumeur porteuse du gène mutant BRCA ou ATM. Les patients seront répartis en 2 groupes selon le type de mutation de la tumeur. Tous les patients recevront de l’avélumab toutes les 2 semaines associé à du talazoparib une fois par jour. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus pour des examens radiologiques toutes les 8 semaines pendant 52 semaines, puis toutes les 16 semaines par la suite jusqu’à la progression de la maladie. Des bilans sanguins seront réalisés toutes les 4 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 4 ans après le début de l’étude.

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Bristol Myers Squibb (BMS) Update Il y a 6 ans

Étude CA224-020 : étude de phase 1 / 2a visant à évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986016 seul et associé au nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides avancées. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. La LAG-3 humaine est une protéine qui bloque le système immunitaire. Le BMS-986016 est un anticorps humain ciblant spécifiquement LAG-3, ce qui permet d’éliminer ce blocage et de stimuler le système immunitaire pour lui permettre d’agir contre les cellules cancéreuses. Le nivolumab est une nouvelle immunothérapie ciblant PD-1 qui bloque la tolérance du système immunitaire à la présence de cellules tumorales. La combinaison du BMS-986016 avec du nivolumab a montré des résultats prometteurs dans les études précliniques précédentes et pourrait avoir une activité antitumorale synergique. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986016 seul et associé au nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides avancées. L’étude comprendra 4 parties : A, B, C et D. La France ne participera pas aux parties A et B. Dans la partie C, les patients recevront du BMS-986016 associé au nivolumab toutes les 2 semaines ou toutes les 4 semaines pour les patients ayant un cancer de la vessie. Dans la partie D, tous les patients recevront du BMS-986016 associé au nivolumab, puis seront répartis en 2 cohortes. Dans la cohorte D1 seront inclus les patients ayant un mélanome prétraité par immuno-oncologie. Ces premiers patients recevront du BMS-986016 associé au nivolumab toutes les 2 semaines. Les patients inclus par la suite dans la cohorte D1 recevront le traitement toutes les 4 semaines. Dans la cohorte D2, les patients recevront du BMS-986016 associé au nivolumab toutes les 4 semaines. Les patients recevront les traitements pendant un maximum de 12 cures de 8 semaines ou jusqu’à une réponse complète confirmée, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients auront des visites de suivi à 30, 60 et 135 jours après la fin du traitement de l’étude puis ils seront contactés par téléphone toutes les 12 semaines jusqu’à 2 ans après la fin du traitement.

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Incyte Update Il y a 4 ans

Étude POD1UM-203 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité du INCMGA00012 (inhibiteur de PD-1) chez des patients ayant certaines tumeurs solides. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules du poumon qui se multiplient de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules est un type de cancer du poumon, qui se différencie du cancer du poumon à petites cellules par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent. Il représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Il y a plusieurs possibilités de traitement, selon le type et le stade du cancer : la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, et l’immunothérapie, parmi lesquelles le durvalumab est actuellement indiqué en monothérapie dans le traitement de certains cancer bronchique non à petites cellules. Le carcinome urothélial est le type le plus fréquent de cancer de la vessie, il représente plus de 90% de tous les cancers de la vessie. Il peut subvenir dans n’importe quelle partie de l’appareil urinaire (le bassinet du rein, l’uretère, la vessie ou l’urètre). Ce cancer peut être non invasif, affectant uniquement le revêtement de la vessie, ou invasif, s’il envahit d’autres couches de la paroi de la vessie. Lors du diagnostic, 40 à 50% des patients ont une tumeur invasive. Pour le cancer de la vessie avancé ou métastatique il peut être proposé une immunothérapie comme deuxième ligne de traitement après une première ligne de chimiothérapie. Le mélanome est une tumeur maligne qui prend naissance dans les cellules de la peau, les mélanocytes. Un changement de la couleur, de la taille ou de la forme d’un grain de beauté est souvent le premier signe de la présence d’un mélanome cutané. S’il est dépisté à un stade précoce et localisé à la peau le pronostic reste généralement bon ; en revanche, à un stade avancé le pronostic est moins favorable. La prise en charge des patients présentant un mélanome non résécable ou métastatique est plus compliquée, bien que de récentes avancées aient considérablement amélioré l’issue clinique chez ces patients. Le cancer du rein peut prendre naissance à partir de cellules de différentes parties du rein. Dans la majorité des cas, il se développe à partir d'une cellule du parenchyme rénal. Ce type de cancer du rein porte le nom de carcinome à cellules rénales. Le cancer du rein représente ainsi environ 3 % de l'ensemble des cancers. Il touche deux fois plus les hommes que les femmes. Dans le cas des cancers localisés, le traitement de référence est la chirurgie. Dans le cas des cancers qui présentent des métastases, le traitement repose sur des médicaments anticancéreux (thérapies ciblées, immunothérapie), associés ou non à une chirurgie. L’INCMGA0012 est un anticorps monoclonal anti-PD-1. Il permet de réactiver les lymphocytes T contre la tumeur. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du INCMGA00012 chez des patients ayant certaines tumeurs solides. Tous les patients recevront l’INCMGA00012 le 1er jour de chaque cure de 4 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à 2 ans en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 3 ans

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Bristol Myers Squibb (BMS) Update Il y a 4 ans

Étude CA013-004 : étude de phase 1-2a évaluant la sécurité et la tolérance du BMS-986179 administré seul et en association avec le nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes), comme par exemple le cancer du sein, et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif, comme par exemple le cancer des os. Les immunothérapies constituent une stratégie importante de traitement contre le cancer. Le nivolumab et le BMS-986179 agissent en réactivant le système immunitaire pour qu’il lutte contre les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance du BMS-986179 administré seul et en association avec le nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé. Cette étude se déroulera en 2 étapes. La 1ère étape de l’étude sera divisée en 2 parties. Dans la 1ère partie, les patients seront répartis en 5 groupes en fonction de la dose de BMS-986179 administrée. Les patients recevront du BMS-986179 seul, 1 fois par semaine pendant 2 semaines et auront une biopsie de la tumeur au 10ème jour de traitement. Puis, les patients recevront du BMS-986179, 1 fois par semaine, associé au nivolumab administré toutes les 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, et en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Dans la 2ème partie, les patients seront répartis en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab, administré à faible dose toutes les 2 semaines et auront une biopsie de la tumeur à la 6ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, et en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab, administré à forte dose toutes les 3 semaines et auront une biopsie de la tumeur au à la 6ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 6 semaines jusqu’à 4 cures, et en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Dans la 2ème étape de l’étude, les patients seront répartis en fonction de leur pathologie. Les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules seront répartis en 2 groupes. - Les patients du premier groupe recevront du BMS-986179 seul, toutes les 4 semaines et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. En cas de progression de la maladie, les patients pourront recevoir du BMS-986179 associé au nivolumab. Dans ce cas, ils recommenceront l’étude à partir du premier jour de la première cure. Les patients du 2ème groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients ayant un carcinome à cellules rénales seront répartis en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du BMS-986179 seul et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. En cas de progression de la maladie, les patients pourront recevoir du BMS-986179 associé au nivolumab. Dans ce cas, ils recommenceront l’étude à partir du premier jour de la première cure. Les patients du 2ème groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients ayant un mélanome ou un carcinome épidermoïde de la tête et du cou recevront du BMS-986179 associé nivolumab et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Tous les patients pourront recevoir 80 semaines de traitement supplémentaires. Les patients seront revus 30, 60 et 100 jours après la dernière administration du traitement à l’étude et passeront une évaluation de la réponse tumorale toutes les 12 semaines à partir de la dernière évaluation de la réponse tumorale au cours de l’étude pendant 1 an, puis tous les 6 mois pendant 1 an.

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Hoffmann-La Roche Update Il y a 4 ans

Étude BP29427 : étude de phase 1b non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi, la pharmacocinétique, la pharmacodynamique et l’efficacité de l’émactuzumab en association à du RO70009789 chez des patients ayant des tumeurs solides. [essai clos aux inclusions] Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquents puisque, à eux seuls, ils représentent 90% des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. L’émactuzumab est une immunothérapie qui a montré un effet antiinflammatoire et stimulant du système immunitaire, augmentant l’infiltration des cellules T et leur réponse immune antitumorale, avec une inhibition de la prolifération des cellules tumorales. Le RO7009789 est une immunothérapie qui a montré une potentielle activité stimulante du système immunitaire sur les cellules B, les cellules T et les cellules présentant l’antigène, ce qui se traduit par une réponse immune augmentée. Le RO7009789 cible et active le CD40 présent à la surface des cellules tumorales de certains tumeurs solides, provoquant la mort de ces cellules et inhibant la croissance tumorale. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la pharmacocinétique, la pharmacodynamique et l’efficacité de l’émactuzumab en association à du RO70009789 chez des patients ayant des tumeurs solides. L’étude comprendra 2 parties. Lors de la la première partie, les patients recevront de l’émactuzumab selon un schéma d’escalade de dose, associé à du RO7009789, toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie, intolérance au traitement ou sortie de l’étude. La dose d’émactuzumab sera régulièrement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième partie. Lors de la deuxième partie, les patients recevront de l’émactuzumab à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première partie, toutes les 3 ou 6 semaines en association avec du RO7009789 toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie, intolérance au traitement ou sortie de l’étude. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

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Chugaï Pharma Update Il y a 6 ans

Etude ERY101EG : étude de phase 1 non-randomisée visant à déterminer la dose maximale tolérée et l’efficacité de l’ERY974 chez des patients ayant des tumeurs solides positives pour le Glypican 3 (GPC3). Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ces tumeurs solides sont fréquentes et représentent 90% des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le GPC3 est une protéine présente à la surface des cellules tumorales de certains types de cancers, tels que le carcinome hépatocellulaire, le cancer du poumon et le cancer gastrique, mais elle est rarement produite par les cellules saines de l’adulte. L’ERY974 est une immunothérapie qui cible le GPC3 et les lymphocytes T, ce qui permet de diriger les défenses du patient (lymphocytes T) vers les cellules cancéreuses (productrices du GPC3). Les lymphocytes T vont ainsi être activés et ils vont attaquer et détruire les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est de déterminer la dose maximale tolérée et l’efficacité de l’ERY974 chez des patients ayant des tumeurs solides positives pour le Glypican 3 (GPC3). L’étude se déroulera en 2étapes. Dans la première étape, tous les patients recevront de l’ERY974 selon un schéma d’escalade de dose. L’ERY974 sera régulièrement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Dans la deuxième étape (étape d’expansion de cohortes), les patients seront répartis en 3 cohortes selon leur type de cancer : Les patients de la cohorte 1 seront les patients ayant un cancer gastrique avancé ou un cancer de la jonction gastrooesophagienne positif pour le GPC3. Les patients de le cohorte 2 seront les patients ayant un carcinome squameux de l’oesophage avancé positif pour le GPC3. Les patients de la cohorte 3 seront les patients ayant d’autres tumeurs solides avancées positifs pour le GPC3. Tous les patients inclus dans la deuxième étape recevront l’ERY974 à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 38 mois maximum.

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Étude IB_2014-01-MetZolimOS : étude de phase 1b, en escalade de dose, évaluant la dose recommandée et la tolérance du sirolimus administré en association avec le cyclophosphamide à posologie métronomique, le méthotrexate et l’acide zolédronique, chez des patients ayant une tumeur solide avancée avec métastases osseuses, ou un ostéosarcome localement avancé et/ou métastatique, préalablement traités. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est d’évaluer la dose la mieux adaptée et la tolérance du sirolimus administré en association avec le cyclophosphamide à posologie métronomique, le méthotrexate et l’acide zolédronique, chez des patients ayant une tumeur solide avancée avec métastases osseuses, ou un ostéosarcome localement avancé et/ou métastatique, préalablement traités. Cette étude comprendra deux parties : Dans la première partie de l’étude, les patientes recevront un traitement comprenant des comprimés de sirolimus administrés une fois par jour, en continu, des comprimés de cyclophosphamide administrés deux fois par jour, une semaine sur deux, des comprimés de méthotrexate administrés au premier et quatrième jour de chaque cure, et de l’acide zolédronique administré en perfusion intraveineuse, au domicile du patient, au deuxième jour de chaque cure. Ces traitements seront répétés toutes les 4 semaines jusqu’à la rechute ou l’intolérance. Dans le cadre de cette première partie, différentes doses de sirolimus seront testées jusqu’à l’obtention de la dose la mieux adaptée. Dans la deuxième partie de l’étude, les patientes recevront un traitement comprenant du sirolimus, administrée à la dose la mieux adaptée déterminée dans la première partie, du cyclophosphamide, du méthotrexate, et de l’acide zolédronique. Ces traitements seront administrés selon les mêmes modalités que dans la première partie, jusqu’à la rechute ou l’intolérance. Par ailleurs, les patients bénéficieront d’un examen clinique et d’un examen biologique (un prélèvement sanguin) une semaine sur deux, d’un examen radiologique toutes les huit semaines, et d’un examen bucco-dentaire toutes les seize semaines, jusqu’à la fin de traitement.

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Hoffmann-La Roche Update Il y a 5 ans

Étude BP29428 : étude de phase 1b non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi, la pharmacocinétique et l’efficacité du RO5509554 (émactuzumab) en association à du MPDL3280A (atézolizumab) chez des patients ayant des tumeurs solides avancées. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquents puisque, à eux seuls, ils représentent 90% des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. L’émactuzumab et l’tézolizumab sont deux nouvelles immunothérapies ayant un effet antitumoral. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la pharmacocinétique et l’efficacité de l’émactuzumab en association à l’atézolizumab chez des patients ayant des tumeurs solides avancées. Dans la première partie de l’étude, les patients recevront de l’émactuzumab par voie intraveineuse selon un schéma d’escalade de dose, associé à de l’atézolizumab par voie intraveineuse, toutes les 3 semaines. La dose d’émactuzumab ser progressivement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer. Dans la deuxième partie de l’étude, tous les patients recevront de l’émactuzumab par voie intraveineuse à la dose la mieux adéptée établie lors la première partie de l’étude ou à une dose inférieure associé à de l’atézolizumab par voie intraveineuse toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 3 ans.

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Hoffmann-La Roche Update Il y a 4 ans

Étude BP29392 : étude de phase 1, en escalade de dose, évaluant la tolérance et l’efficacité de l’association du RO7009789, un agoniste du CD40et du MPDL3280A, un anti PD-L1, chez des patients ayant une tumeur solide localement avancée et/ou métastatique. [essai clos aux inclusions] Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquents puisque, à eux seuls, ils représentent 90% des cancers humains. Il a été démontré qu’on pouvait détecter la présence de cellules immunitaires dans beaucoup de ces tumeurs. Certaines de ces cellules immunitaires ont la capacité d’éliminer les cellules cancéreuses. Les chercheurs travaillent aujourd’hui à développer des molécules thérapeutiques, telles que des anticorps, capables de restaurer l’activité anti tumorale des cellules immunitaires pour lutter contre les cancers. Il s’agit de l’immunothérapie. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et la sécurité du RO7009789 en combinaison avec l’atézolizumab, qui sont tous les 2 des médicaments d’immunothérapie, chez des patients ayant une tumeur solide localement avancée et/ou métastatique qui ne se prête pas à un traitement standard. L’étude sera réalisée en 2 étapes : Dans l’étape 1 : Elle visera à vérifier la sécurité d’administration de RO7009789 et d’atézolizumab et définir la dose maximale tolérée (DMT) de RO7009789 administrée de façon simultanée avec atézolizumab. Dans une première partie, les patients recevront des doses croissantes de RO7009789 par voie sous-cutanée (SC) le 1er jour de la 1ère cure et de l’atézolizumab en perfusion intraveineuse (IV) d’1h30 3 semaines après, le 1er jour de la 2ème cure. Le traitement par atézolizumab sera répété le 1er jour de chaque cure de 3 semaines tant que le patient éprouvera un bénéfice clinique ou jusqu’à intolérance. En cas de bonne tolérance, la seconde perfusion d’atézolizumab pourra être délivrée en 1h, puis en 30 min à partir de la 3ème perfusion. Les patients seront hospitalisés 24h pour l’administration des 2ème et 3ème doses d’atézolizumab. Un électrocardiogramme sera effectué à la sélection, 30 min avant le début et après la fin de la perfusion le 1er jour des 3 premières cures et à la visite de fin d’étude. Des biopsies des tumeurs seront réalisées lors de la sélection et le 8ème jour de la 1ère et 3ème cure. Dans une deuxième partie, les patients recevront des doses croissantes de RO7009789 par voie SC le 2ème jour de la 1ère cure. Si les réactions au site d’injection limitent la dose, la voie d’administration IV peut être utilisée dans les groupes suivants. La dose et la voie d’administration pour la partie 2 seront établies. Ils recevront aussi de l’atézolizumab à J1 de chaque cure, toutes les 3 semaines selon les mêmes conditions que lors de la première partie. Un ECG sera effectué à la sélection, 30 min avant le début et après la fin de la perfusion à J1 des 3 premières cures et à la visite de fin d’étude. Des biopsies tumorales seront réalisées au screening et à J8 de la 2ème cure. Dans l’étape 2 : Elle visera à évaluer la sécurité et l’activité clinique d’administrations concomitantes multiples de RO7009789 et d’atézolizumab dans les indications spécifiques et d’affiner la dose, le schéma d’administration du RO7009789. Les patients recevront de l’atézolizumab à J1 de chaque cure toutes les 3 semaines et du RO7009789 à la dose et par la voie définies (SC ou IV) dans la partie 1 un jour après l’administration d’atézolizumab toutes les 2 cures de la 1ère à la 7ème cure puis toutes les 4 cures. Un ECG sera effectué à la sélection, 30 min avant le début et après la fin de la perfusion à J1 des 4 premières cures et à la visite de fin d’étude. Des biopsies tumorales seront réalisées au screening et à J8 de la 2ème cure. Une IRM sera effectuée lors de la sélection, dans les 2 semaines précédant l’administration du traitement, à la 4ème cure, lors de la visite de suivi de la tolérance à 1 mois post-traitement. Les patients seront suivis à 5 mois après la dernière perfusion d’atézolizumab.

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