Organes: Tête et cou - Spécialités: Chimiothérapie
Pfizer MAJ Il y a 6 ans

Étude JAVELIN HEAD AND NECK 100 : étude de phase 3 randomisée, en double aveugle, visant à comparer l’efficacité de l’avélumab en association à une chimioradiothérapie standard (cisplatine et une radiothérapie définitive) à une chimioradiothérapie standard seule comme traitement de première ligne chez des patients ayant un carcinome squameux de la tête et du cou localement avancé. Les cancers de l’oropharynx, du pharynx et du larynx constituent le 90% des cancers de la tête et du cou et sont favorisés par le tabagisme et l’abus d’alcool. Une infection par certains types du papillomavirus humain augmente le risque de développer un cancer de la tête et du cou. Le traitement des cancers de la tête et du cou est complexe et dépend des caractéristiques de la tumeur qui guident le choix de la stratégie de traitement. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. L’avélumab est un anticorps monoclonal qui cible PD-L1 et qui est capable de rétablir la réponse antitumorale des lymphocytes T du système immunitaire. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité de l’avélumab en association à une chimioradiothérapie standard (cisplatine et une radiothérapie définitive) à une chimioradiothérapie standard seule comme traitement de première ligne chez des patients ayant un carcinome squameux de la tête et du cou localement avancé. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront de l’avélumab par voie intraveineuse (IV) une fois par semaine pendant 2 semaine puis, après 4 semaines sans traitement, encore une fois par semaine pendant 2 semaines, puis toutes les 2 semaines pendant 12 mois, associé au cisplatine en IV toutes les 3 semaines et à une radiothérapie à modulation d’intensité, 1 séance par jour, 5 jours par semaine pendant 7 semaines. Les patients du deuxième groupe recevront la même association de traitement que les patients du premier groupe mais l’avéluùab sera remplacé par un placebo. Dans cette étude, ni le patient, ni le médecin ne connaitront la nature du traitement administré entre avelumab et placebo. Les patients seront suivis pendant 4 ans et 1 mois.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans

Étude CA209-651 : étude de phase 3 randomisée visant à comparer l’efficacité du nivolumab associé à l’ipilimumab au traitement EXTREME (cétuximab, cisplatine/carboplatine et fluorouracile) comme traitement de première ligne chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête et du cou récurrent ou métastatique. [essai clos aux inclusions] Les cancers de l’oropharynx, du pharynx et du larynx constituent 90 % des cancers de la tête et du cou et sont favorisés par le tabagisme et l’abus d’alcool. Une infection par certains types de papillomavirus humains augmente le risque de développer un cancer de la tête et du cou. Le traitement des cancers de la tête et du cou est complexe et dépend des caractéristiques de la tumeur qui guident le choix de la stratégie de traitement. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le nivolumab est une nouvelle immunothérapie anti-PD-1 qui bloque la tolérance du système immunitaire à la présence de cellules tumorales. L’ipilimumab est une immunothérapie anti-CTLA-4 qui stimule les lymphocytes T cytotoxiques pour reconnaître et détruire les cellules tumorales. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du nivolumab associé à l’ipilimumab au traitement EXTREME (cétuximab, cisplatine/carboplatine et fluorouracile) comme traitement de première ligne chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête et du cou, récurrent ou métastatique. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront du nivolumab par voie intraveineuse (IV) toutes les 2 semaines et de l’ipilimumab en IV toutes les 6 semaines jusqu’à progression de la maladie, intolérance au traitement ou pendant une durée maximale de 24 mois. Les patients du deuxième groupe recevront le traitement EXTREME comprenant du cétuximab en IV une fois par semaine associé au cisplatine ou au carboplatine en IV et au fluorouracile en IV toutes les 3 semaines avec un maximum de 6 cures, puis une maintenance par du cétuximab en IV 1 fois par semaine ou toutes les 2 semaines selon le standard de prescription local jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 5 ans après l’analyse de survie globale.

Essai clos aux inclusions
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 6 ans

Étude I4D-MC-JTJI : étude de phase 1b non-randomisée visant à déterminer la sécurité et la dose recommandée du prexasertib en association avec le cisplatine et la radiothérapie ou avec le cetuximab et la radiothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête ou du cou localement avancé. Les cancers de l’oropharynx, du pharynx et du larynx constituent 90% des cancers de la tête et du cou et sont favorisés par le tabagisme et l’abus d’alcool. Leur traitement est complexe et dépend des caractéristiques de la tumeur qui guident le choix entre la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées. Des nouvelles stratégies de traitement combinant des nouvelles molécules avec la chimiothérapie ou la radiothérapie ont montré des résultats très prometteurs. L’objectif de cette étude est de déterminer la sécurité et la dose recommandée du prexasertib en association avec le cisplatine et la radiothérapie ou le cetuximab et la radiothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête ou du cou localement avancé t. L’étude se déroulera en 2 parties : Dans la première partie de l’étude, les patients recevront du prexasertib par voie intraveineuse (IV) tous les 14 jours associé à du cisplatine en IV 1 fois par semaine et à une radiothérapie à intensité modulée 5 jours par semaine pendant environ 49 jours. Les patients resteront sous traitement jusqu’à la fin de la période de traitement. Dans la deuxième partie de l’étude, les patients recevront du prexasertib IV tous les 14 jours associé du cetuximab en IV 1 fois par semaine et à une radiothérapie à intensité modulée 5 jours par semaine (commençant la deuxième semaine) pendant environ 56 jours. Les patients resteront sous traitement jusqu’à la fin de la période de traitement. Les patients seront suivis pendant un an.

Essai ouvert aux inclusions

Étude MEDINDUCTION : étude de phase 1 évaluant la sécurité d’emploi et la tolérance du durvalumab associé à une chimiothérapie à base de docétaxel, cisplatine et 5-fluorouracil en phase d’induction chez des patients ayant un cancer de la tête et du cou à cellules squameuses, localement avancé. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Les cancers de l’oropharynx, du pharynx et du larynx constituent 90 % des cancers de la tête et du cou et sont favorisés par le tabagisme et l’abus d’alcool. Une infection par certains types de papillomavirus humains augmente le risque de développer un cancer de la tête et du cou. Le traitement de ces cancers est complexe et dépend des caractéristiques de la tumeur qui guident le choix de la stratégie de traitement. Dans de nombreux cas, les cellules cancéreuses développent une stratégie de protection qui consiste à inhiber le système immunitaire en sécrétant une protéine appelée PD-L1. Cette protéine peut inhiber l’activité des lymphocytes T en interagissant avec la protéine PD-1 localisée à la surface de ces cellules. Le durvalumab est un anticorps ciblant la protéine PD-1 qui, en se fixant à cette dernière, permet d’empêcher l’inactivation des lymphocytes T par les cellules cancéreuses et d’aider le système immunitaire à éliminer ou limiter la prolifération des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et la tolérance du durvalumab associé à une chimiothérapie à base de docétaxel, cisplatine et 5-fluorouracil en phase d’induction chez des patients ayant un cancer de la tête et du cou à cellules squameuses, localement avancé. L’étude se déroulera en deux étapes : Lors de la 1ère phase, les patients recevront le durvalumab toutes les 3 semaines, associé à une chimiothérapie par docétaxel et cisplatine au 2ème jour de chaque cure, toutes les 3 semaines, et du 5-fluorouracil pendant 4 jours, toutes les 3 semaines. La dose de durvalumab sera régulièrement augmentée par groupe de patient, afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Lors de la 2ème phase, les patients recevront du durvalumab toutes les 3 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la 1ère phase, associé à une chimiothérapie par docétaxel et cisplatine au 2ème jour de chaque cure, toutes les 3 semaines, et du 5-fluorouracil pendant 4 jours, toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété pendant 9 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 6 mois.

Essai ouvert aux inclusions

Étude TPExtreme : étude de phase 2, randomisée, comparant l’efficacité et la tolérance d’un traitement associant cisplatine, cétuximab et docétaxel (TPEx) par rapport à un traitement standard associant cisplatine, cétuximab et 5-fluorouracile (5-FU) (Extreme), en traitement de première ligne, chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête et du cou métastatique ou en récidive. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la tolérance d’un traitement associant cisplatine, cétuximab et docétaxel (TPEx) par rapport à un traitement standard associant cisplatine, cétuximab et 5-fluorouracile (5-FU) (Extreme), en traitement de première ligne, chez des patients ayant un carcinome épidermoïde de la tête et du cou métastatique ou en récidive. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront une chimiothérapie standard (appelé Extreme), à base de cisplatine administré en perfusion intraveineuse au premier jour de chaque cure, de cétuximab administré en perfusion intraveineuse une fois par semaine, et de 5-fluorouracile (5-FU) administré en perfusion intraveineuse en continue à partir du premier jour de chaque cure pendant quatre jours. Ces traitements seront répétés toutes les trois semaines pendant six cures. Les patients du deuxième groupe recevront une chimiothérapie standard (appelé TPEx), à base de cisplatine administré en perfusion en perfusion intraveineuse au premier jour de chaque cure, de cétuximab administré en perfusion intraveineuse une fois par semaine, et de docétaxel administré en perfusion intraveineuse au premier jour de chaque cure. Ces traitements sont répétés toutes les trois semaines pendant quatre cures. En cas d’intolérance, le cisplatibe sera remplacé par le carboplatine, à l’exception des tumeurs hémorragiques. A la fin de la chimiothérapie Extreme ou TPEx, les patients stables ou répondeurs recevront le cétuximab administré seul en perfusion intraveineuse une fois par semaine, jusqu’à la rechute ou l’intolérance.

Essai ouvert aux inclusions
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 4 ans

Étude I4D-MC-JTJI : étude de phase 1b non-randomisée visant à déterminer la sécurité et la dose recommandée du prexasertib en association avec le cisplatine et la radiothérapie ou avec le cetuximab et la radiothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête ou du cou localement avancé. [essai clos aux inclusions] Les cancers de l’oropharynx, du pharynx et du larynx constituent 90% des cancers de la tête et du cou et sont favorisés par le tabagisme et l’abus d’alcool. Leur traitement est complexe et dépend des caractéristiques de la tumeur qui guident le choix entre la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées. Des nouvelles stratégies de traitement combinant des nouvelles molécules avec la chimiothérapie ou la radiothérapie ont montré des résultats très prometteurs. L’objectif de cette étude est de déterminer la sécurité et la dose recommandée du prexasertib en association avec le cisplatine et la radiothérapie ou le cetuximab et la radiothérapie chez des patients ayant un cancer de la tête ou du cou localement avancé t. L’étude se déroulera en 2 parties : Dans la première partie de l’étude, les patients recevront du prexasertib par voie intraveineuse (IV) tous les 14 jours associé à du cisplatine en IV 1 fois par semaine et à une radiothérapie à intensité modulée 5 jours par semaine pendant environ 49 jours. Les patients resteront sous traitement jusqu’à la fin de la période de traitement. Dans la deuxième partie de l’étude, les patients recevront du prexasertib IV tous les 14 jours associé du cetuximab en IV 1 fois par semaine et à une radiothérapie à intensité modulée 5 jours par semaine (commençant la deuxième semaine) pendant environ 56 jours. Les patients resteront sous traitement jusqu’à la fin de la période de traitement. Les patients seront suivis pendant un an.

Essai clos aux inclusions