Organes: Poumon, type non à petites cellules - Spécialités: Immunothérapie - Vaccinothérapie,Thérapies Ciblées
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 6 ans

Étude RELAY : étude de phase 3 randomisée comparant la sécurité et l’efficacité du ramucirumab associé à l’erlotinib au placebo associé à l’erlotinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avec l’EGFR muté et métastatique non-traité antérieurement. Le cancer de poumon non à petites cellules est le type de cancer de poumon le plus fréquent, il représente 85-90% de l’ensemble des cancers de poumon. Le cancer du poumon non à petites cellules métastatique de stade IV est rarement opérable ou traité par radiothérapie, donc le traitement principal reste la chimiothérapie, et récemment à l’immunothérapie. Le ramucirumab est un anticorps monoclonal inhibiteur de la vascularisation des cellules tumorales, ce qui va rendre plus difficile la croissance et la survie des cellules tumorales. Le traitement du cancer du poumon non à petites cellules par le ramucirumab en association avec l’erlotinib a montré une absence de toxicités inattendues et est prometteur d’activité clinique dans les essais cliniques de phases précédentes. L’objectif de cette étude est de comparer la sécurité et l’efficacité de l’association ramucirumab et erlotinib à l’association placebo et erlotinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avec l’EGFR muté et métastatique non-traité antérieurement. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront du ramucirumab par voie intraveineuse (IV) toutes les deux semaines et des comprimés d’erlotinib tous les jours jusqu’à avoir les critères pour arrêter le traitement. Les patients du deuxième groupe recevront un placebo en IV toutes les deux semaines et des comprimés d’erlotinib tous les jours jusqu’à avoir les critères pour arrêter le traitement. Les patients seront suivis pendant 4 ans.

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Étude LUX-Lung IO : étude de phase 2 visant à évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité de l’afatinib en association avec le pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de type épidermoïde localement avancé ou métastatique. Les cancers du poumon non à petites cellules (CBNPC) représentent près de 85 % des cancers du poumon. Le carcinome épidermoïde, qui se développe habituellement dans les grosses bronches situées dans la partie centrale du poumon, est l’une des formes les plus fréquentes de cancers bronchiques non à petites cellules. Le cancer est d’abord limité aux bronches mais peut se propager à d’autres parties du poumon et aux structures voisines, voire atteindre d’autres parties du corps lorsque des métastases se forment. Le pembrolizumab est un médicament d’immunothérapie et l’afatinib est un médicament de thérapie ciblée. Tous deux ont démontré une activité anticancéreuse quand ils ont été administrés séparément. L’administration de l’afatinib associé au pembrolizumab pourrait augmenter la réponse à ces traitements. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité de l’afatinib en association avec le pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de type épidermoïde localement avancé ou métastatique. Les patients recevront de l’afatinib par voie orale une fois par jour et du pembrolizumab par voie intraveineuse toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie, intolérance au traitement ou jusqu’à un maximum de 35 cures. Les patients qui ont arrêté le traitement avec un de ces médicaments pourront continuer à recevoir l’autre jusqu’à un maximum de 35 cures. À l’issue de cette période de traitement dans le cadre de l’étude, les patients pourront soit poursuivre le traitement par afatinib commercial (Giotrif®), soit recevoir un traitement alternatif ou des soins de support, selon la décision de l’investigateur. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

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Hoffmann-La Roche MAJ Il y a 4 ans

Étude MORPHEUS - POUMON : étude de phase 1b/2 randomisée évaluant l’efficacité et la sécurité d’immunothérapies en traitement combiné chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules métastatique. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. L’atézolizumab, le RO6958688, le BL-8040 et le CPI-444 sont des molécules d’immunothérapie qui visent à mobiliser les défenses immunitaires du patient contre sa maladie. Plusieurs traitements d’immunothérapie sont d’ores et déjà disponibles. Le cobimétinib et le tazemetostat sont des molécules bloquant la prolifération tumorale. Le docétaxel, le pemetrexed, le carboplatine et la gemcitabine sont des agents chimiothérapeutiques toxiques pour les cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité d’immunothérapies en traitement combiné chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules métastatique. L’étude sera divisée en 2 phases. Pendant la phase 1, les patients seront répartis en 2 cohortes. Les patients de la cohorte 1 seront répartis de façon aléatoire en 3 groupes. Les patients du groupe 1A recevront de l’atézolizumab à forte dose toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 1B recevront de l’atézolizumab à faible dose toutes les 2 semaines, en association avec du cobimétinib une fois par jour pendant les 3 premières semaines de chaque cure. Le traitement sera répété tous les 28 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 1C recevront de l’atézolizumab à forte dose toutes les 3 semaines en association avec du RO6958688 toutes les semaines à des doses croissantes pendant la 1re cure puis à dose stable. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients de la cohorte 2 seront répartis de façon aléatoire 6 groupes. Les patients du groupe 2A recevront du docétaxel toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 2B recevront de l’atézolizumab à faible dose toutes les 2 semaines, en association avec du cobimétinib une fois par jour pendant les 3 premières semaines de chaque cure. Le traitement sera répété tous les 28 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 2C recevront quotidiennement, lors d’une période de 5 jours précédant la première cure, du BL-8040 seul. Ensuite, ils recevront de l’atézolizumab à forte dose toutes les 3 semaines en association avec du BL-8040 3 fois par semaine. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 2D recevront de l’atézolizumab à forte dose toutes les 3 semaines en association avec du tazemetostat 2 fois par jour tous les jours. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 2E recevront de l’atézolizumab à forte dose toutes les 3 semaines en association avec du CPI-444 2 fois par jour tous les jours. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 2F recevront de l’atézolizumab à forte dose toutes les 3 semaines en association avec du RO6958688 toutes les semaines à des doses croissantes pendant la 1re cure puis à dose stable. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Pendant la phase 2, les patients seront répartis en 2 groupes. Les patients du 1er groupe seront répartis en 2 sous-groupes selon leur pathologie. Les patients du sous-groupe 1A recevront de l’atézolizumab à forte dose en association avec du pemetrexed et, pendant les 4 ou 6 premières cures, du carboplatine. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du sous-groupe 1B recevront de l’atézolizumab à forte dose toutes les 3 semaines en association avec de la gemcitabine 1 fois par semaine pendant les 2 premières semaines de chaque cure et du carboplatine toutes les 3 semaines pendant les 4 ou 6 premières cures. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe seront répartis en 2 sous-groupes. Les patients du sous-groupe 2A recevront de l’atézolizumab à forte dose toutes les 3 semaines en association avec du RO6958688 toutes les semaines à des doses croissantes pendant la 1re cure puis à dose stable. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du sous-groupe 2B recevront de l’atézolizumab à forte dose en association avec du docétaxel. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront revus tous les 3 mois pendant 3 à 5 ans.

Essai ouvert aux inclusions

Étude LUX-Lung IO : étude de phase 2 visant à évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité de l’afatinib en association avec le pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de type épidermoïde localement avancé ou métastatique. [essai clos aux inclusions] Les cancers du poumon non à petites cellules (CBNPC) représentent près de 85 % des cancers du poumon. Le carcinome épidermoïde, qui se développe habituellement dans les grosses bronches situées dans la partie centrale du poumon, est l’une des formes les plus fréquentes de cancers bronchiques non à petites cellules. Le cancer est d’abord limité aux bronches mais peut se propager à d’autres parties du poumon et aux structures voisines, voire atteindre d’autres parties du corps lorsque des métastases se forment. Le pembrolizumab est un médicament d’immunothérapie et l’afatinib est un médicament de thérapie ciblée. Tous deux ont démontré une activité anticancéreuse quand ils ont été administrés séparément. L’administration de l’afatinib associé au pembrolizumab pourrait augmenter la réponse à ces traitements. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité de l’afatinib en association avec le pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de type épidermoïde localement avancé ou métastatique. Les patients recevront de l’afatinib par voie orale une fois par jour et du pembrolizumab par voie intraveineuse toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie, intolérance au traitement ou jusqu’à un maximum de 35 cures. Les patients qui ont arrêté le traitement avec un de ces médicaments pourront continuer à recevoir l’autre jusqu’à un maximum de 35 cures. À l’issue de cette période de traitement dans le cadre de l’étude, les patients pourront soit poursuivre le traitement par afatinib commercial (Giotrif®), soit recevoir un traitement alternatif ou des soins de support, selon la décision de l’investigateur. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai clos aux inclusions
Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CLDK378A2120C : étude de phase 1 non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité du céritinib en association à du nivolumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules positif pour ALK. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Les réarrangements du gène ALK sont présents dans 3 à 13% des cancers du poumon non à petites cellules et la plupart des porteurs de ce réarrangement sont plus jeunes que les autres patients atteints de cancer du poumon et sont des « petits fumeurs » ou des non-fumeurs. La découverte d’anomalies moléculaires dans cette tumeur permet de développer et de prescrire des thérapies ciblées tel que le céritinib, inhibiteur spécifique d’ALK, qui peuvent être plus efficaces que les thérapies non spécifiques. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité du céritinib en association à du nivolumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules positif pour ALK. L’étude comprendra 2 étapes. Dans la première étape, tous les patients recevront du céritinib selon un schéma d’escalade de dose en association avec du nivolumab .Le céritinib est régulièremenrt augmentée par groupe de patients pour déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. La deuxième étape est une étape d’expansion de dose. Tous les patients recevront le céritinib à la dose la mieux adaptée déterminée dans la première étape en association avec du nivolumab. Les patients seront suivis pendant 24 semaines.

Essai clos aux inclusions
Pfizer MAJ Il y a 4 ans

Étude B9991005 : étude de phase 1b/2, en escalade de dose évaluant l’efficacité, la tolérance, la pharmacocinétique et la pharmacodynamique de l’avelumab en association avec le crizotinib ou le Pf-06463922, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avancé ou métastatique. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85-90% de l’ensemble des cancers du poumon. Les réarrangements du gène ALK sont présents dans 3-13% des cancers du poumon non à petites cellules et la plupart des porteurs de ce réarrangement sont plus jeunes que les autres patients atteints de cancer du poumon et sont des « petits fumeurs » ou des non-fumeurs. La découverte d’anomalies moléculaires dans cette tumeur permet de développer des thérapies ciblées comme des inhibiteurs spécifiques d’ALK tels que le crizotinib ou le PF-06463922, qui pourraient être plus efficaces que les thérapies non spécifiques. Ils peuvent être utilisés en monothérapie ou associés à une immunothérapie telle que l’avélumab. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, l’efficacité, la pharmacocinétique et la pharmacodynamique de l’avélumab en association au crizotinib ou au PF-06463922 chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique. Les patients seront répartis en 2 groupes selon leur statut ALK. Les patients du premier groupe ayant un cancer du poumon non à petites cellules négatif pour le gène ALK recevront de l’avélumab toutes les 2 semaines associé à du crizotinib 1 ou 2 fois par jour. Les patients du deuxième groupe ayant un cancer du poumon non à petites cellules positif pour le gène ALK recevront de l’avélumab associé à du PF-06463922 PO 1 fois par jour. Les patients seront suivis pendant un maximum de 5 ans.

Essai clos aux inclusions
Acerta Pharma MAJ Il y a 6 ans

Étude ACE lung : étude randomisée de phase 2 comparant l’efficacité et la toxicité de l’association du cetuximab à l’afatinib par rapport à l’afatinib seul, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) porteurs d’une mutation du récepteur à l’Epidermal Growth Factor (EGFR). Les cancers bronchiques non à petites cellules représentent environ 75 à 80 % de l'ensemble des cancers du poumon. Une mutation de l’EGFR est associée à une croissance tumorale incontrôlée, ce qui peut accélérer la progression du cancer. Les cellules tumorales porteuses de mutations de l’EGFR sont très sensibles aux traitements anticancéreux basés sur des thérapies ciblées comme l’afatinib. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la toxicité de l’association d’une chimiothérapie par l’afatinib avec le cetuximab en comparaison à l’afatinib seul chez des patients ayant des cancers bronchiques non à petites cellules avec une mutation EGFR. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront de l’afatinib seul par voie orale tous les jours pendant 9 mois ou jusqu’à progression de la maladie. Les patients du deuxième groupe recevront de l’afatinib par voie orale tous les jours pendant 9 mois ou jusqu’à progression de la maladie plus du cetuximab par voie intraveineuse toutes les deux semaines pendant 6 mois à partir du quinzième jour. Les patients seront suivis toutes les 8 semaines jusqu’à 12 mois puis toutes les 12 semaines. Le bilan de suivi comprendra un scanner du thorax et de l’abdomen, une répétition des examens pour l’évaluation des lésions mesurables initiales, un prélèvement sanguin et un questionnaire de qualité de vie à chaque visite.

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Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CEGF816X2201C : étude de phase 2, évaluant l’efficacité et la tolérance de deux combinaison de traitement, le premier associant l’EGF816 (un inhibiteur d’EGFR) et le nivolumab, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules EGFR muté , le second associant l’INC280 (un inhibiteur de cMET) et le nivolumab, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules-MET positif. Le cancer du poumon est une maladie des cellules des bronches ou, plus rarement, des cellules qui tapissent les alvéoles pulmonaires. Il se développe à partir d’une cellule initialement normale qui se transforme et se multiplie de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur. Le tabac est le premier facteur de risque des cancers du poumon. Il est responsable de 8 cancers du poumon sur 10. Il existe deux principaux types de cancers du poumon en fonction de l’origine des cellules des bronches dont ils sont issus : les cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC), qui représentent près de 85 % des cancers du poumon ; les cancers bronchiques à petites cellules (CBPC), qui représentent près de 15 % des cancers du poumon. Le traitement standard du cancer du poumon non à petites cellules avec mutation du récepteur EGFR est une thérapie par inhibiteur de l’EGFR. Il n’existe pas encore de traitement standard pour le traitement du cancer du poumon non à petite cellules positif pour c-Met, cependant le nivolumab a déjà montré une activité anticancéreuse dans le traitement de ce type de cancer. Le nivolumab est un anticorps agissant sur le système immunitaire et induisant une inhibition de la multiplication des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du nivolumab associé à du nazartinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avec mutation du récepteur EGFR et celle du nivolumab associé à du capmatinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules positif pour c-Met. Les patients seront répartis en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront du nivolumab associé à du nazartinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients recevront du nivolumab associé à du capmatinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis jusqu’à 1 an après le début de l’étude.

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Hoffmann-La Roche MAJ Il y a 4 ans

Étude BO29554 : étude de phase 2-3 évaluant l’efficacité et la tolérance de différentes thérapie ciblées chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique présentant des mutations somatiques actionnables. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. L’alectinib et l’atézolizumab sont des traitements de thérapie ciblée. Ces traitements ont une action ciblée en intervenant à un niveau précis du développement de la cellule tumorale. Le carboplatine, le cisplatine et la gemcitabine sont des agents anti-cancéreux qui se fixent sur l’ADN des cellules tumorales, inhibant ainsi la prolifération de ces cellules et induisant leur mort. Le pémétrexed inhibe la multiplication cellulaire en bloquant la réplication de l’ADN des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de différentes thérapies ciblées chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique avec des mutations somatiques actionnables. Les patients seront répartis en 3 cohortes selon les altérations génétiques de leur pathologie : Les patients de la cohorte A recevront de l’alectinib 2 fois par jour jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients de la cohorte B recevront de l’alectinib 2 fois par jour, jusqu’à la progression, intolérance au traitement ou détermination de la dose la mieux adaptée. La dose d’alectinib sera régulièrement augmentée) afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la partie 2. Les patients de cette cohorte participant à la partie 2 recevront de l’alectinib 2 fois par jour à la dose déterminée à la partie 1 jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients de la cohorte C seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du groupe C1 recevront de l’atézolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe C2 ayant un carcinome non épidermoïde recevront du pémétrexed associé soit à du carboplatine, soit à du cisplatine, tous les 21 jours jusqu’à 4 à 6 cures maximum, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Puis ils recevront du pémétrexed seul tous les 21 jours en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du groupe C2 ayant un carcinome épidermoïde recevront de la gemcitabine à forte dose associée à du cisplatine ou de la gemcitabine à faible dose associée à du carboplatine. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à 4 à 6 cures, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 6 ans maximum.

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