Organes: Poumon, type non à petites cellules - Spécialités: Immunothérapie - Vaccinothérapie
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M16-300 : étude de phase 1/2 évaluant la sécurité et l’éfficacité du rovalpituzumab tesirine administré en association avec du nivolumab ou du nivolumab et de l’ipilimumab chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules de stade avancé. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon à petites cellules prend naissance dans les cellules qui tapissent les bronches situées au centre des poumons. Il y a deux types principaux de cancer du poumon non à petites cellules : le carcinome à petites cellules et le carcinome mixte à petites cellules. Le cancer du poumon à petites cellules représente 15 % des cancers du poumon diagnostiqués. Deux-tiers des patients sont diagnostiqués à un stade avancé avec un taux de survie à 2 ans de 5 %. Le rovalpituzumab est un anticorps monoclonal anti-DLL3 qui cible spécifiquement les cellules tumorales du cancer du poumon à petites cellules et qui a montré un effet cytotoxique prometteur dans les études précédentes. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’éfficacité du rovalpituzumab tesirine administré en association avec du nivolumab et de l’ipilimumab chez des patients ayant un cancer du poumon à petites cellules de stade avancé. Les patients seront répartis en 3 groupes. Les patients du premier groupe recevront du rovalpituzumab tesirine et du nivolumab tous les 2 semaines pendant 2 semaines, répété après 1 semaine sans traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du rovalpituzumab tesirine, du nivolumab et de l’ipilimumab à faible dose tous les 2 semaines pendant 2 semaines lors de 3 semaines jusqu’à 4 cures. Les patients du troisième groupe recevront du rovalpituzumab, du nivolumab et de l’ipilimumab à forte dose toutes les 2 semaines pendant 2 semaines lors de cure de 3 semaines, jusqu’à 4 cures. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai clos aux inclusions
Novartis Pharma MAJ Il y a 5 ans

Étude CLDK378A2120C : étude de phase 1 non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité du céritinib en association à du nivolumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules positif pour ALK. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Les réarrangements du gène ALK sont présents dans 3 à 13% des cancers du poumon non à petites cellules et la plupart des porteurs de ce réarrangement sont plus jeunes que les autres patients atteints de cancer du poumon et sont des « petits fumeurs » ou des non-fumeurs. La découverte d’anomalies moléculaires dans cette tumeur permet de développer et de prescrire des thérapies ciblées tel que le céritinib, inhibiteur spécifique d’ALK, qui peuvent être plus efficaces que les thérapies non spécifiques. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité du céritinib en association à du nivolumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules positif pour ALK. L’étude comprendra 2 étapes. Dans la première étape, tous les patients recevront du céritinib selon un schéma d’escalade de dose en association avec du nivolumab .Le céritinib est régulièremenrt augmentée par groupe de patients pour déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. La deuxième étape est une étape d’expansion de dose. Tous les patients recevront le céritinib à la dose la mieux adaptée déterminée dans la première étape en association avec du nivolumab. Les patients seront suivis pendant 24 semaines.

Essai ouvert aux inclusions

Étude 2017-01 : étude de phase 4 visant à étudier l’évolution de la fonction cardiaque chez des patients ayant un mélanome ou un cancer du poumon non à petites cellules prenant du nivolumab. Le mélanome est une tumeur maligne qui prend naissance dans les cellules de la peau, les mélanocytes. Un changement de la couleur, de la taille ou de la forme d’un grain de beauté est souvent le premier signe de la présence d’un mélanome cutané. S’il est dépisté à un stade précoce et localisé à la peau, le pronostic reste généralement bon ; en revanche, à un stade avancé le pronostic est moins favorable. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. Le nivolumab est un anticorps monoclonal bloquant les récepteurs PD-1 induisant une inhibition de la prolifération des cellules cancéreuses. Cette molécule est indiquée pour le traitement de plusieurs cancers dont le cancer du poumon non à petites cellules et le mélanome métastatique. L’objectif de cette étude est d’étudier l’évolution de la fonction cardiaque chez des patients ayant un mélanome ou un cancer du poumon non à petites cellules prenant du nivolumab. Tous les patients auront un examen clinique, biologique, une échocardiographie transthoracique et une Imagerie à Résonance Magnétique (IRM) cardiaque le premier jour de l’étude. Les patients seront revus 1 mois, 3 mois et 6 mois plus tard pour effectuer un bilan comprenant un examen clinique, biologique et une échocardiographie transthoracique ainsi qu’une IRM cardiaque pour le dernier bilan à 6 mois.

Essai ouvert aux inclusions
Hoffmann-La Roche MAJ Il y a 4 ans

Étude GO40241 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité, la sécurité et la tolérance d’un traitement néoadjuvant par atézolizumab à celle d’un placebo, en association avec un doublet de chimiothérapie à base sels de platine, chez des patients ayant un cancer des bronches non à petites cellules résécable, de stade II, IIIa ou IIIb. Le cancer des bronches est une tumeur maligne se développant à partir de l'épithélium bronchique puis envahissant secondairement le poumon. Il existe plusieurs variétés de cancers bronchopulmonaires, les plus fréquents étant les cancers à petites cellules et les cancers non à petites cellules. Les cancers bronchiques non à petites cellules représentent les formes histologiques les plus fréquentes des cancers bronchiques (environ 85 % des cas). Dans un sous-groupe de ces patients a été détectée la présence d’une anomalie génomique qui touchent le récepteur du facteur de croissance épidermique qui accélère la prolifération des cellules cancéreuses. Dans de nombreux cas, les cellules cancéreuses développent une stratégie de protection qui consiste à inhiber le système immunitaire en sécrétant une protéine appelée PD-L1. Cette protéine peut inhiber l’activité des lymphocytes T en interagissant avec la protéine PD-1 localisée à la surface de ces cellules. Le atézolizumab est un anticorps ciblant la protéine PD-L1 qui, en se fixant à cette dernière, permet d’empêcher l’inactivation des lymphocytes T par les cellules cancéreuses et d’aider le système immunitaire à éliminer ou limiter la prolifération des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité, la sécurité et la tolérance de l’atézolizumab en association avec un doublet chimiothérapie à base sels de platine par rapport à un placébo en association avec un doublet de chimiothérapie à base sels de platine chez des patients ayant un cancer des bronches non à petites cellules résécable, de stade 2, 3a ou 3b. Les patients seront répartis aléatoirement en deux groupes. Les patients du premier groupe recevront de l’atézolizumab toutes les 3 semaines, associé à une chimiothérapie à base sels de platine, laissée au choix du médecin (nab-paclitaxel 1 fois par semaines, pémétrexed toutes les 3 semaines, carboplatine toutes les 3 semaines ou cisplatine toutes les 3 semaines). Ces traitements seront répétés jusqu’à 4 cures. Les patients auront ensuite une élimination chirurgicale des tumeurs résiduelles, suivie d’une radiothérapie post-opératoire. Puis les patients recevront de l’atézolizumab au toutes les 3 semaines jusqu‘à 16 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront un traitement selon les mêmes modalités que dans le premier groupe, mais l’atézolizumab est remplacé par un placebo. Les patients seront suivis tous les 3 mois jusqu’à 3 ans après la randomisation.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans

Étude FRACTION-Lung : étude de phase 2 randomisée évaluant rapidement et en temps réel l’efficacité d’associations d’immunothérapies chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cas de cancers du poumon. Le cancer du poumon à petites cellules prend naissance dans les cellules qui tapissent les bronches situées au centre des poumons. Il existe deux types principaux de cancer du poumon non à petites cellules : le carcinome à petites cellules et le carcinome mixte à petites cellules. Les immunothérapies constituent un développement majeur dans le traitement du cancer car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. L’ipilimumab et le nivolumab sont des anticorps ciblant respectivement CTLA-4 et PD-1. Ils sont susceptibles de réactiver le système immunitaire et pourraient avoir un effet synergique quand ils sont administrés simultanément. L’objectif de cette étude est d’évaluer rapidement et en temps réel l’efficacité d’associations d’immunothérapies chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé. Les patients seront répartis aléatoirement en 5 groupes : Les patients du premier groupe recevront du nivolumab. Les patients du deuxième groupe recevront du nivolumab associé à du dasatinib. Les patients du troisième groupe recevront du nivolumab associé à du relatlimab. Les patients du quatrième groupe recevront du nivolumab associé à de l’ipilimumab. Les patients du cinquième groupe recevront du nivolumab associé à du BMS-986205. Le traitement sera répété à chaque cure pour tous les groupes en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement.

Essai clos aux inclusions