Organes: Ovaire
UNICANCER MAJ Il y a 5 ans
Essai clos aux inclusions
Hoffmann-La Roche MAJ Il y a 5 ans
Essai clos aux inclusions
Essai ouvert aux inclusions

Étude NiQoLe : étude de phase 4 évaluant la tolérance du niraparib en phase de maintenance chez des patientes ayant un cancer ovarien en rechute tardive, traité précédemment par une chimiothérapie à base de platine. Le cancer de l’ovaire est un cancer rare, qui touche les femmes le plus souvent autour de 65 ans. Sa prise en charge est chirurgicale. De nouveaux traitements ciblés permettent d’adapter les traitements aux caractéristiques du cancer de chaque patiente et augmentent l’espérance de vie des patientes. À cause de ses symptômes discrets et peu spécifiques, il est souvent découvert à un stade avancé. Le niraparib est un inhibiteur enzymatique qui empêche la multiplication des cellules cancéreuses ; il est indiqué pour le traitement d’entretien des patientes adultes ayant un cancer épithélial séreux de haut grade de l’ovaire, des trompes de Fallope ou péritonéal primitif, récidivant et sensible au platine, répondant de façon complète ou partielle à une chimiothérapie à base de platine. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance du niraparib en phase de maintenance chez des patientes ayant un cancer ovarien en rechute tardive traité précédemment par une chimiothérapie à base de platine. Les patientes recevront du niraparib. Le traitement sera répété tous les jours en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les doses de niraparib diffèrent en fonction de leur poids et du taux de plaquettes de chaque patiente. Les patientes sont revues le 8e jour puis les 9e et 12e mois après leur inclusion dans l’étude pour des visites de maintenance, et elles sont revues aux 3e et 6e mois pour une évaluation gériatrique.

Essai ouvert aux inclusions

Étude PAOLA : étude de phase 3, randomisée, en double aveugle, comparant l’efficacité d’un traitement de manitenance par olaparib par rapport à un placebo, chez des patientes ayant un cancer séreux ou endométrioïde, de haut grade (stade IIIB-IV, FIGO) de l’ovaire, des trompes de Fallope, ou du péritoine, ayant répondu à une chimiothérapie de première ligne à base de sel de platine et de taxane, associée au bevacizumab. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité d’un traitement de maintenance par olaparib par rapport à un placebo, chez des patientes ayant un cancer séreux ou endométrioïde de haut grade de l’ovaire, des trompes de Fallope ou du péritoine, ayant répondu à une chimiothérapie de première ligne à base de sel de platine et de taxane, associée au bevacizumab. Les patientes seront réparties de façon aléatoire en deux groupes, trois à neuf semaines après la dernière administration de la chimiothérapie de première ligne : Les patientes du premier groupe recevront des comprimés d’olaparib, deux fois par jour pendant deux ans, ou jusqu’à la rechute ou l’intolérance. Les patientes du deuxième groupe recevront des comprimés de placebo selon les mêmes modalités que l'olaparib. Dans le cadre de cette étude, ni le patient, ni le médecin ne connaitront le type de traitement attribué (placebo ou olaparib). Les patientes seront revues toutes les trois semaines pendant les six premiers mois, puis toutes les six semaines jusqu’à la fin du traitement. Le bilan de suivi comprendra notamment un examen clinique complet, un examen biologique (prélèvement sanguin), une évaluation tumorale (dosage de CA-125 tous les trois mois et scanner et/ou IRM tous les six mois) et un questionnaire de qualité de vie tous les trois mois.

Essai clos aux inclusions

Etude VIVROVAIRE TR : étude visant à évaluer la fatigue chronique, la qualité de vie et les effets tardifs de la chimiothérapie chez des patientes en rémission d’un cancer rare de l’ovaire (tumeurs germinales malignes, tumeurs stromales et des cordons sexuels). Les tumeurs germinales malignes (TGMO) et les tumeurs stromales et des cordons sexuels (TSCS) sont des cancers rares de l’ovaire. Ces tumeurs rares sont traitées par intervention chirurgicale conservatrice (chez la femme jeune) complétée d’une chimiothérapie (médicaments s’attaquant aux cellules cancéreuses) si besoin. Cette chimiothérapie peut induire des effets indésirables retardés (troubles métaboliques, cardiaques, respiratoires, rénaux, hématologiques, troubles de l’audition, neurotoxicité) pouvant perdurer après le traitement, et retentir tardivement sur la qualité de vie (QdV) et l’insertion sociale et professionnelle. L’objectif de cette étude est d’évaluer la fatigue chronique, la qualité de vie et les séquelles liées à la chimiothérapie chez des patientes en rémission d’un cancer rare de l’ovaire traité par une intervention chirurgicale complétée d’une chimiothérapie. Les femmes participantes à l’étude seront réparties en 3 groupes : 1 - Le groupe d’intérêt composé des patientes traitées par chimiothérapie, 2 - Le groupe contrôle n°1 composé des patientes non traitées par chimiothérapie et 3 - Le groupe contrôle n°2 composé de femmes indemnes de cancer. L’étude sera réalisée en 2 étapes : Lors de l’étape 1, toutes les femmes participantes à l’étude compléteront des auto-questionnaires de conditions de vie et de qualité de vie. Lors de l’étape 2, un examen clinique complet sera réalisé aux 2 groupes de patientes (groupe d’intérêt et groupe de contrôle n°1) comprenant un bilan cardiaque, un examen pulmonaire et auditif, un bilan.

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Etude GANNET53 : étude de phase 1-2 visant à évaluer la tolérance et l’efficacité d’une nouvelle thérapie ciblée, le ganetespib, en association avec du paclitaxel chez des patientes ayant un cancer épithélial de l’ovaire, des trompes de Fallope ou du péritoine, de haut grade ou indifférencié et résistant au sel de platine. [essai clos aux inclusions] Les tumeurs malignes de l’ovaire d’origine épithéliale, appelées « carcinomes » se placent au 6ème rang des cancers féminins. Le principal traitement est l’intervention chirurgicale généralement suivie d’un traitement par chimiothérapie. En dehors de la chimiothérapie classique, de nouveaux traitements, appelés thérapies ciblées, sont apparus, agissant contre des cibles spécifiques altérées dans les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité d’une nouvelle thérapie ciblée, le ganetespib, en association avec le traitement de chimiothérapie standard, le paclitaxel, pour améliorer le pronostic et la qualité de vie des patientes ayant un cancer épithélial de l’ovaire, des trompes de Fallope ou du péritoine, de haut grade ou indifférencié et résistant au sel de platine. Avant l’inclusion, une imagerie thoraco-abdomino-pelvienne (scanner ou imagerie par résonnance magnétique) et un électrocardiogramme seront réalisés. L’étude se décompose en 2 parties : Dans la partie 1 : les patientes recevront du ganetespib en association avec du paclitaxel une fois par semaine pendant 3 semaines. Ce traitement sera répété toutes les 4 semaines pour un minimum de 2 cures jusqu’à la progression ou intolérance inacceptable. Dans la partie 2 : les patientes seront réparties de façon aléatoire en 2 groupes : Les patientes du premier groupe recevront du paclitaxel associé au ganetespib une fois par semaine pendant 3 semaines. Ce traitement sera répété toutes les 4 semaines. Les patientes du deuxième groupe recevront du paclitaxel seul selon les mêmes modalités que dans le premier groupe. Ces traitements seront poursuivis dans les 2 groupes aussi longtemps qu’ils seront tolérés et efficaces pour lutter contre la maladie. Pour les patientes traitées par ganetespib, un électrocardiogramme sera effectué le 1er jour de la 1ère cure avant et 1h après l’administration du traitement. Selon les résultats, d’autres électrocardiogrammes seront réalisés le 1er jour de chaque cycle.

Essai clos aux inclusions
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