organs: Leucémies chroniques - Specialty: Chimiothérapie - Promoter: Celgene
Celgene Update Il y a 5 ans

Étude AZA-JMML-001 : étude de phase 2 évaluant la pharmacocinétique, la pharmacodynamique, la sureté d’emploi et l’activité de l’azacitidine et comparant l’azacitidine aux contrôles historiques chez des enfants ayant un syndrome myélodysplasique avancé nouvellement diagnostiqué ou une leucémie myélomonocytaire juvénile avant une greffe de cellules souches hématopoïétiques. [essai clos aux inclusions] Les syndromes myélodysplasiques constituent un ensemble de maladies caractérisé par la production insuffisante de cellules sanguines matures saines par la moelle osseuse (MO). Les cellules sanguines immatures, appelées blastes s’accumulent dans la MO et le sang et par conséquent, il y a moins de globules rouges, de globules blancs et de plaquettes sains circulants. Les syndromes myélodysplasiques sont considérés comme une forme de cancer et ils peuvent aussi évoluer en leucémie aiguë myéloblastique chez un tiers des patients. La leucémie myélomonocytaire juvénile est un type rare de cancer du sang qui évolue rapidement s’il n’est pas traité. Elle est causée par des mutations de l’ADN des cellules souches de la MO en croissance et affecte surtout des enfants de moins de six ans. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sureté d’emploi et l’activité d’une chimiothérapie par azacitidine et de la comparer aux contrôles historiques chez des patients pédiatriques ayant un syndrome myélodysplasique avancé nouvellement diagnostiqué ou une leucémie myélomonocytaire juvénile avant une greffe de cellules souches hématopoïétiques. Les patients seront répartis en deux groupes selon leur maladie : Dans le premier groupe, les patients ayant un syndrome myélodysplasique recevront de l’azacitidine 1 fois par jour pendant les 7 premiers jours d’une cure de 28 jours pour un minimum de 3 cures et un maximum de 6 cures. Dans le deuxième groupe, les patients ayant une leucémie myélomonocytaire juvénile recevront de l’azacitidine 1 fois par jour pendant les 7 premiers jours d’une cure de 28 jours pour un minimum de 3 cures et un maximum de 6 cures. Les patients seront traités pour un minimum de 3 mois et un maximum de 6 mois jusqu’à la greffe ou la progression de la maladie. Le taux de réponse sera évalué à la fin de la troisième cure dans les deux groupes de l’étude. Chaque groupe sera aussi comparé individuellement aux groupes de contrôle historiques en utilisant des données collectées rétrospectivement. Les patients seront suivis pendant 2 ans après la dernière administration du traitement à l’étude. Le suivi ne sera pas arrêté dans le cas où le patient bénéficie d’un nouveau traitement anti-cancéreux ou d’une greffe de cellules souches hématopoïétiques.

Essai clos aux inclusions
Celgene Update Il y a 5 ans

Étude FUSION NHL 001 : étude de phase 1-2, évaluant la tolérance du durvalumab (MEDI4736) seul ou associé à lenalidomide et rituximab, ou ibrutinib, ou bendamustine et rituximab, chez des patients ayant un lymphome ou une leucémie lymphoïde chronique. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Les lymphomes et leucémies sont des cancers qui impliquent des cellules sanguines cancéreuses qui s’accumulent de façon anormale et incontrôlée. Dans la leucémie, dont il existe plusieurs types, cette accumulation se fait dans le sang et la moelle osseuse, dans les lymphomes, l’accumulation se fait dans les ganglions et le système lymphatique. Le point commun des lymphomes et de la leucémie lymphoïde chronique est l’implication des lymphocytes B. De nouvelles stratégies thérapeutiques telles que l’immunothérapie apparaissent dans la prise en charge de ces types de cancers. Elle consiste à administrer des médicaments, comme le durvalumab actuellement en cours d’évaluation, stimulant le système immunitaire pour qu’il puisse défendre l’organisme contre les cellules cancéreuses. Le durvalumab bloque une protéine (PD-L1) présente à la surface des cellules cancéreuses ce qui permet aux cellules du système immunitaire d’agir efficacement contre elles. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance, la sécurité d’emploi et l’efficacité du durvalumab, soit seul, soit associé à d’autres médicaments chez des patients ayant un lymphome ou une leucémie lymphoïde chronique. L’étude sera réalisée en 2 étapes : la 1ère visera à déterminer la dose efficace la mieux tolérée du durvalumab et la 2ème aura pour objectif d’apporter les premiers éléments sur l’efficacité du durvalumab utilisé seul ou en association avec d’autres médicaments. Les patients seront répartis entre 4 groupes en fonction de leur pathologie : Les patients du premier groupe recevront du durvalumab le 1er jour de chaque cure et du lénalidomide une fois par jour du 1er au 21ème jour de la cure. Ce traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 13 cures. Les patients recevront du rituximab en perfusion IV une fois par semaine lors de la première cure et le 1er jour de la 2ème à la 5ème cure uniquement. Les patients du deuxième groupe recevront du durvalumab le 1er jour de chaque cure pendant 13 cures de 28 jours et de l’ibrutinib PO tous les jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du troisième groupe recevront du durvalumab le 1er jour de chaque cure pendant 13 cures de 28 jours, de la bendamustine le 1er et 2ème jour de la 1ère à la 6ème cure et du rituximab le 2ème jour de la 1ère à la 6ème cure. Les patients du quatrième groupe recevront du durvalumab le 1er jour de chaque cure pendant 13 cures de 28 jours. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai clos aux inclusions
Celgene Update Il y a 6 ans

Étude AZA-JMML-001 : étude de phase 2 évaluant la pharmacocinétique, la pharmacodynamique, la sureté d’emploi et l’activité de l’azacitidine et comparant l’azacitidine aux contrôles historiques chez des enfants ayant un syndrome myélodysplasique avancé nouvellement diagnostiqué ou une leucémie myélomonocytaire juvénile avant une greffe de cellules souches hématopoïétiques. Les syndromes myélodysplasiques constituent un ensemble de maladies caractérisé par la production insuffisante de cellules sanguines matures saines par la moelle osseuse (MO). Les cellules sanguines immatures, appelées blastes s’accumulent dans la MO et le sang et par conséquent, il y a moins de globules rouges, de globules blancs et de plaquettes sains circulants. Les syndromes myélodysplasiques sont considérés comme une forme de cancer et ils peuvent aussi évoluer en leucémie aiguë myéloblastique chez un tiers des patients. La leucémie myélomonocytaire juvénile est un type rare de cancer du sang qui évolue rapidement s’il n’est pas traité. Elle est causée par des mutations de l’ADN des cellules souches de la MO en croissance et affecte surtout des enfants de moins de six ans. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sureté d’emploi et l’activité d’une chimiothérapie par azacitidine et de la comparer aux contrôles historiques chez des patients pédiatriques ayant un syndrome myélodysplasique avancé nouvellement diagnostiqué ou une leucémie myélomonocytaire juvénile avant une greffe de cellules souches hématopoïétiques. Les patients seront répartis en deux groupes selon leur maladie : Dans le premier groupe, les patients ayant un syndrome myélodysplasique recevront de l’azacitidine 1 fois par jour pendant les 7 premiers jours d’une cure de 28 jours pour un minimum de 3 cures et un maximum de 6 cures. Dans le deuxième groupe, les patients ayant une leucémie myélomonocytaire juvénile recevront de l’azacitidine 1 fois par jour pendant les 7 premiers jours d’une cure de 28 jours pour un minimum de 3 cures et un maximum de 6 cures. Les patients seront traités pour un minimum de 3 mois et un maximum de 6 mois jusqu’à la greffe ou la progression de la maladie. Le taux de réponse sera évalué à la fin de la troisième cure dans les deux groupes de l’étude. Chaque groupe sera aussi comparé individuellement aux groupes de contrôle historiques en utilisant des données collectées rétrospectivement. Les patients seront suivis pendant 2 ans après la dernière administration du traitement à l’étude. Le suivi ne sera pas arrêté dans le cas où le patient bénéficie d’un nouveau traitement anti-cancéreux ou d’une greffe de cellules souches hématopoïétiques.

Essai ouvert aux inclusions