Organes: Appareil respiratoire - autres
Ipsen MAJ Il y a 6 ans

Étude SPINET : étude de phase 3 randomisée visant à comparer l’efficacité et la sécurité d’emploi du lanréotide au placebo en association aux meilleurs soins de support chez des patients ayant des tumeurs neuroendocrines du poumon typiques ou atypiques, bien différentiées, métastatiques et/ou non résécables. Les tumeurs neuroendocrines prennent naissance dans les cellules du système neuroendocrinien qui sont dispersées dans tout le corps. Ces cellules reçoivent des signaux du système nerveux et fabriquent et sécrètent des hormones. Les tumeurs neuroendocrines du poumon apparaissent dans les poumons ou les voies respiratoires, souvent entre la trachée et les poumons. Ils peuvent être typiques (indolents et avec une croissance lente) ou atypiques (différenciées et avec tendance à former des métastases). Pour les patients pour lesquels une chirurgie n’est pas indiquée, la prise en charge consiste en une radiothérapie ou un traitement médicamenteux, généralement avec une chimiothérapie ou une thérapie ciblée. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la sécurité d’emploi du lanréotide au placebo en association aux meilleurs soins de support chez des patients ayant des tumeurs neuroendocrines du poumon typiques ou atypiques, bien différentiées, métastatiques et/ou non résécables. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront du lanréotide tous les 28 jours jusqu’à la progression associé aux meilleurs soins de support. Les patients du deuxième groupe recevront un placebo tous les 28 jours jusqu’à la progression associé aux meilleurs soins de support. En cas de progression, les patients pourront recevoir du lanréotide lors une phase d’extension . Les patients seront suivis jusqu’à progression de la maladie jusqu’à un maximum de 18 mois.

Essai ouvert aux inclusions
Ipsen MAJ Il y a 5 ans

Étude SPINET : étude de phase 3 randomisée visant à comparer l’efficacité et la sécurité d’emploi du lanréotide au placebo en association aux meilleurs soins de support chez des patients ayant des tumeurs neuroendocrines du poumon typiques ou atypiques, bien différentiées, métastatiques et/ou non résécables. [essai clos aux inclusions] Les tumeurs neuroendocrines prennent naissance dans les cellules du système neuroendocrinien qui sont dispersées dans tout le corps. Ces cellules reçoivent des signaux du système nerveux et fabriquent et sécrètent des hormones. Les tumeurs neuroendocrines du poumon apparaissent dans les poumons ou les voies respiratoires, souvent entre la trachée et les poumons. Ils peuvent être typiques (indolents et avec une croissance lente) ou atypiques (différenciées et avec tendance à former des métastases). Pour les patients pour lesquels une chirurgie n’est pas indiquée, la prise en charge consiste en une radiothérapie ou un traitement médicamenteux, généralement avec une chimiothérapie ou une thérapie ciblée. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la sécurité d’emploi du lanréotide au placebo en association aux meilleurs soins de support chez des patients ayant des tumeurs neuroendocrines du poumon typiques ou atypiques, bien différentiées, métastatiques et/ou non résécables. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront du lanréotide tous les 28 jours jusqu’à la progression associé aux meilleurs soins de support. Les patients du deuxième groupe recevront un placebo tous les 28 jours jusqu’à la progression associé aux meilleurs soins de support. En cas de progression, les patients pourront recevoir du lanréotide lors une phase d’extension . Les patients seront suivis jusqu’à progression de la maladie jusqu’à un maximum de 18 mois.

Essai clos aux inclusions

Étude 2014.871 : étude sociologique et sensorielle évaluant l’impact de la chimiothérapie sur les perceptions sensorielles et les habitudes alimentaires, chez les patients atteints de cancer du poumon en comparaison à un groupe témoin (individus sans cancer du poumon et sans chimiothérapie) [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est de mieux comprendre l’impact de la chimiothérapie sur les perceptions sensorielles et les habitudes alimentaires et d’identifier les changements de comportements alimentaires et les stratégies d’adaptation développées par des patients ayant un cancer et suivant un traitement par chimiothérapique. Cette étude comprendra 2 parties : Partie 1 (caractérisation des modifications sensorielles et alimentaires) : les patients sont répartis en deux groupes : Les patients du premier groupe, ayant un cancer des bronches traité par une chimiothérapie à base de cis platine, complèteront des tests de perception olfactive et gustative, avant le début du traitement et au moment de la troisième cure de traitement (six semaines plus tard). Les patients du deuxième groupe, individus sans cancer du poumon et sans chimiothérapie, compléteront les mêmes tests que dans le premier groupe, avant et après une période égale à la durée de la cure de chimiothérapie. Par ailleurs, tous les patients et leur famille bénéficieront des entretiens exploratoires approfondis permettant de décrire les différents types de comportement alimentaire. Partie 2 (mise en place d’un kit sensoriel et d’un questionnaire simplifié) : Les patients, présentant différents types de cancer et suivant différents traitements, bénéficieront des tests sensoriels simplifiés et complèteront des questionnaires de comportement alimentaire.

Essai clos aux inclusions
Essai clos aux inclusions